Invité Invité Sujet: Moriarty - am I or are the others crazy ? Ven 24 Déc - 21:27 I'm a troublemaker Never been a faker
Nom : Moriarty.Prénom(s) : Jim. C'est court, c'est simple, c'est efficace. Comme certaines autres choses, mais tu ne veux pas savoir quoi. Notons que Jim est un diminutif de James, mais vous n'êtes pas censés le savoir.Sexe : Oui Masculin, comme si ça se voyait pas.Date et lieu de naissance : Un certain 5 Octobre 1978, dans une certaine capitale Irlandaise...Groupe : Criminel. Parce que Criminel Consultant. Vous vous souvenez ?Spécialité : Tout, absolument tout. Mais ne se salit pas les mains Feat Andrew Scott, un bel irlandais.
You'll know we are equally damaged
Physique Jim est votre sympathique voisin psychopathe. Souriant, affable et poli, vous l'apprécierez sans nul doute. Son physique en est le premier témoin : un visage, ma foi, agréable à regarder, affublé d'un sourire doux ou sardonique sur demande. De taille moyenne, plutôt fin, et discret, il n'est pas le type d'homme qui attire le regard. Du moins, pas grâce à son physique relativement commun. Il lui arrive d'en jouer cependant, car il serait fort hypocrite de le nier, l'irlandais possède un certain charme. Son charisme étrange y est probablement pour quelque chose. Quoi qu'il en soit, il lui faut peu de temps pour séduire une demoiselle lambda (Molly, i'm watching you) . Certes, c'est aussi grâce à son talent pour le déguisement et le mensonge. D'une démarche droite sans paraitre austère ou étrange, agréable sans être un mannequin pour autant, étonnamment doux et posé en apparence, James tromperait les meilleurs détectives de Scotland Yard, et il le fait avec classe. Sempiternellement en costume, mis à part lorsqu'il joue un rôle particulier, inutile de préciser qu'il respire l'élégance. Relativement gracieux, brun, possédant un visage aux caractéristiques plutôt communes - si l'on exclut un nez pointu et relevé-, il se fond aisément dans la foule et revêt sans mal n'importe quel masque. Aussi, il vous arrivera peut-être de l'apercevoir plus négligé, baissant la tête, presque croque-mort. Ou alors, au contraire, joyeux et surexcité, selon le rôle qu'il souhaite jouer. Bref. Mieux vaut ne trop vous fier à son apparence, car il n'a guère besoin de masque pour se déguiser...
Caractère "He is a man of good birth and excellent education, endowed by nature with a phenomenal mathematical faculty. At the age of twenty-one he wrote "A Treatise on the Binomial Theorem", which has had a European vogue. On the strength of it, he won the mathematical chair at one of our smaller universities, and had, to all appearances, a most brilliant career before him. But the man had hereditary tendencies of the most diabolical kind. A criminal strain ran in his blood, which, instead of being modified, was increased and rendered infinitely more dangerous by his extraordinary mental powers. Dark rumours gathered round him in the University town, and eventually he was compelled to resign his chair and come down to London. He is the Napoleon of Crime, Watson, the organiser of half that is evil and nearly all that is undetected in this great city..." —Holmes, "The Final Problem"
Moriarty est comme une boite de Pandore personnifiée. Vous n'avez, au premier abord, aucune réticence à l'approcher ; il est élégamment vêtu, parait poli et gracieux, ses manières de gentleman pourraient même vous impressionner. Vous vous dites que, décidément, les hommes de cette trempe se font rares, et vous n'hésitez guère à lui adresser la parole. Il vous répondra calmement et posément, probablement un sourire affable aux lèvres. Vous noterez son numéro et lui promettrez de le rappeler. Lui se contentera d'un rire enthousiaste, et se fondera de nouveau dans la foule. Oui mais voilà. En quelques minutes, James aura réussi l'exploit de vous charmer sans même jouer de rôle. Car il est réellement comme cela. Affable, doux, poli, amusant, intelligent et de bonne compagnie. Ses masques, il ne les cherche jamais loin : le bon ami, le charmeur timide sont des parties de lui-même, peut-être dissimulées, peut-être oubliées, mais tout de même. Extrêmement intelligent et calculateur, il rivalise avec Sherlock en matière de déduction, capable de prévoir et d'orchestrer des plans diablement géniaux. Ai-je oublié de préciser que l'individu était totalement bipolaire ? Passant sempiternellement du gai-luron terrifiant au criminel sérieux et effrayant, il a de quoi vraiment vous dérouter... Immoral, il n'hésitera pas à tuer pour prouver sa mainmise, ou simplement pour occuper ses soirées. Antisocial au dernier degré, il n'aura, en effet, absolument aucun remords à descendre une vieille dame ou un enfant. Non, ce sont de vulgaires humains, des objets, de simples pions disposés sur un immense échiquier. Mais pas psychopathe non plus. C'est à dire qu'il ne prend aucun plaisir à assassiner ses congénères. Il n'en a que faire de les voir agoniser, suffoquer, mourir. D'ailleurs, jamais il ne se salira lui-même les mains, jugeant cela digne d'un criminel de piètre catégorie. Puissant et malin, il trouvera toujours quelqu'un pour faire le sale boulot à sa place. Ce qui l'intéresse, c'est le challenge, les défis fous qu'il se lance à lui même. Vaincre Sherlock Holmes étant le dernier en date. Et peut-être le dernier tout court...
Relations ♠ Sherlock Holmes Plus qu'un rival, Sherlock est sa Némésis, l'Ennemi avec un immense et imposant "E". Loin de le haïr (va, je ne te hais point) , Jim le respecte et le considère comme son égal. Quelque part, il lui est aussi reconnaissant d'apporter un challenge à son travail qui devenait quelques peu monotone... (sans vouloir offenser Scotland Yard..) Cependant, son défi et son but reste d'arrêter le détective, avant tout pour prouver qu'il est le meilleur, même si il compte bien faire durer le plaisir. ♥ ♣ Sebastian Moran Son associé et le seul humain qu'il pourrait qualifier d'ami. Au sens Moriatien du terme bien sûr... Il fait entièrement confiance à Moran, lui confiant les tâches les plus délicates et ardues, toujours dans l'optique de ne pas se salir les mains. Cette relation qui pourrait être caricatural ne l'est guère, en fin de compte, car il serait faux d'affirmer que Moriarty se fiche de son associé. Il l'estime et l'apprécie, et parfois, ils se comportent presque comme deux êtres humains normaux. Enfin, presque hein. ♦ Quelques Sous-Fifres et le Reste du Monde Les gens en général n'importent que peu James qui les observe de bien plus haut qu'on ne le pense. Ayant la mainmise sur toute la pègre londonienne, il contrôle avec aisance son petit monde et à tendance à mépriser un peu le monde qui l'entoure, à part quelques rares énergumènes. Bref, les humains et les quidams peuplant les rues ne l'intéressent pas. Cependant, quelques individus font exception à la règle ; John Watson, qui l'intéresse simplement en tant qu'associé et proche de Sherlock Holmes (oh you, you're going down ~), Mycroft Holmes, très fin et intelligent, qui pourrait bien devenir une nuisance et une poignée de criminels plus malins que les autres dont il compte se servir. Ah oui, et cette pauvre Molly =/
Histoire CAR TOUTE SOUFFRANCE DÉBUTE EN ENFANCE L 'Irlande, un beau pays, n'est-ce pas ? Ces plaines verdoyantes à perte de vue, ses petites maisons, ses pubs pittoresques, ses touristes étonnamment respectueux et calmes, comme si ils pénétraient dans un sanctuaire, ses habitants aussi, à l'accent chantant. Mais enfin, ses pubs, surtout ses pubs, soyons réalistes. James aurait pu vous l'affirmer au jeune âge de 12 ans. Un âge terrible, on se rend compte de la réalité, on s'aperçoit que le monde n'est jamais le paradis que l'on espérait. L'âge des révélations aussi. Pour le petit Jim, cette année là avait été désastreuse. Né dans une famille irlandaise de bonne fortune, à l'hérédité discutable mais extrêmement connue et reconnue dans le pays, on ne se faisait guère de soucis pour son avenir. Son père dirigeait une entreprise quelconque et possédait une mainmise sur tout ce qu'il y avait de puissant en Irlande. Sa mère avait travaillé un temps comme chercheuse puis était devenue maitre de conférence dans une grande Université. Un destin tout tracé s'étendait devant lui, déjà, son compte en banque était ouvert, on avait prévu une maison, peut-être même une femme. Aucun imprévu, car on détestait cela dans la famille. On prévoyait tout, on avait la phobie du changement, la peur incontrôlée de la pauvreté, du manque, de l'étrange. Partout, on disait que c'était une gentille et responsable famille, et ses parents s'en félicitaient.
Booooooooring .
James l'avait réalisé à 12 ans. Il avait décidé deux choses ce jour-là : qu'il n'habiterait pas dans le petit cottage payé par ses parents et qu'il n'épouserait jamais de femme.
Esprit de rébellion, de contraction ou simple jeu d'enfant, peu importait, son choix était fait. Si le petit James avait été un gamin normal, il est évident qu'il serait bien vite rentré chez ses géniteurs, l'air penaud et les chaussures sales. Mais il n'avait pas grand chose de normal. Pire, la norme ne semblait pas faire partie de son vocabulaire. Tout son être criait à l'anormalité. Par conséquent, rien ne l'empêchait de partir. On objecterait, à raison, que cette folle chose devait bien ressentir un peu d'affection pour ses parents. Effectivement, mais il était loin de réaliser la peine qu'il leur ferait. En fait, notre pauvre James ne réalisait pas grand chose d'autre que ses propres sentiments et émotions. Légèrement en marge de l'univers, il en était également totalement coupé, comme un touriste se sent étranger sur une terre qu'il ne connait pas. Les problèmes et émotions des autres l'indifféraient au point qu'il n'avait absolument ressenti aucun remord en quittant le domicile familial.
Spoiler: NB : j'ai hésité à faire naitre James dans une famille plutôt misérablement pauvre ou trempant dans la violence/l'alcoolisme etc pour expliquer ses tendances sociopathes - même si, évidemment on peut être sociopathe en ayant eut une enfance relativement normale. Finalement j'ai opté pour cette version beaucoup moins populaire dans le fandom mais au moins ça change.
GRAVIS LES ÉCHELONS, C'EST DU COTON. *
Naturellement, un gosse normal serait rentré dans le cottage de ses parents rongé par la honte et la faim. Ce ne fut pas son cas, d'abord par chance, puis grâce à son audace, qui avait le malheur d'être servie par une redoutable intelligence. La fortune, tout d'abord, lui permit de fuir à la capitale non lointaine, et de survivre miraculeusement entre les aliénés et les clochards. Il est bon de préciser qu'une famille, certes, embourgeoisée, mais insane et inhabituelle malgré tout lui permirent de ne pas être recherché par la police. Ses parents, dont, je le rappelle, l'hérédité était tant contestable que malsaine, étouffèrent l'affaire et on oublia cet enfant. Peut-être même qu'entre temps, James avait eu des frères et sœurs venant redorer le blason déjà bien amoché de la famille.
Avait-il changé d'identité, de nom ? Peut-être, probablement. Le nom de sa famille n'était cependant pas connu du grand public, on se figurait leurs terres, leur puissance, mais leur nom n'évoquait rien en lui-même. De ce point de vue là, il n'eut guère de problèmes. Et puis, chemin faisant, il se fit un nom parmi la pègre irlandaise. Il ne lui fallut que peu d'années pour devenir chef de gang puis cerveau de nombreuses opérations ; vols, meurtres, assassinats, tout y passait. S'agissait-il de son intelligence ou de son culot, on en savait rien, mais la recette marchait diablement bien. Bientôt, son nom devint une référence parmi les criminels, qu'il fasse trembler ou siffler d'admiration. Car il était drôlement jeune.
On disait aussi qu'il étudiait. C'était vrai. Comprenant rapidement que son talent ne suffirait pas à se hisser en haut de l'échelle, James s'instruisit, en autodidacte, il volait des livres, s'immisçait dans les universités, s'infiltrait partout où cela pourrait lui être utile. Il avait un talent inouï pour les mathématiques et la déduction. On s'en rendit rapidement compte, et comme un héros de conte de fée, James atteignit son but sans grand mal : diriger la pègre irlandaise.
ENNUIE, DÉTRUIS, PLUS DE BRUIT. *
A l'âge de 20 ans, il s'ennuyait de nouveau, alors il s'installa à Londres. L'immense cité, pleine d'effervescence et d'âmes éperdues devint un véritable terrain de jeu, mille fois plus amusant que Dublin. Sa réputation le précédait, déjà on le respectait plus qu'on le craignait cependant. Car les criminels et les mafieux de Londres n'étaient pas prêt à céder la place à l'Irlandais parvenu si facilement. Il fallut du temps, et surtout de la chance. Quelques grand coups, plusieurs pièges aisément tendus à Scotland Yard, et la pègre lui appartint. On travaillait à présent volontairement sous ses ordres, on l'admirait comme un maitre à penser. Il ne pouvait pas nier qu'il y avait quelque chose d'agréable à diriger, mais il n'était pourtant pas un dictateur. S'afficher le révulsait, et dévoiler sa véritable identité le répugnait de plus en plus. Les criminels de Londres n'avaient rien de la mafia unie ou du groupe de bagnard solidaires qu'il avait eu l'habitude de fréquenter. N'importe qui pourrait le trahir pour une bourse ou des vacances à Hawaii. Il craignait plus que tout la faiblesse et la frivolité des humains.
Alors il usa de systèmes sophistiqués, et ainsi naquit, sans qu'il ne le veuille réellement, un véritable mythe. On soufflait le nom Moriarty, et des dizaines, des centaines de bandits rappliquaient, tremblants, les yeux brillants. Moriarty était devenu une légende. Certains doutaient de son existence, d'autres admiraient son génie, tous le servaient avec zèle, parfois malgré eux. Car il était
devenu la pègre , le Napoléon du Crime. Rien d'obscur qui se passât à Londres ne lui était étranger. Il était au centre de chaque échange, de chaque machination. Et surtout, intouchable. La seule personne qui pouvait se vanter de le fréquenter au jour le jour était Sebastian Moran. Cela était, néanmoins, loin d'être un problème. Il avait une totale confiance en cet ex-militaire, pour diverses raisons que je ne prendrais pas la peine de dévoiler ici. Au fil du temps, il avait eu besoin d'un bras droit. Il ne pouvait guère se permettre de se montrer, ou même de se salir les mains. Il en était hors de question, aujourd'hui.
BURN THE HEART OUT OF YOU. *
Plus il réussissait, plus il s'ennuyait. Bien trop intelligent pour garder ce poste étroit de génie du crime, il avait choisi de devenir Criminel Consultant. Le seul au monde. On fit maintes fois appel à lui, pour toutes sortes de meurtres, si bien que bientôt, l'ennui le reprit. On ne lui demandait rien de réellement stimulant : des vols, des assassinats, des vengeances... certes, n'importe quel humain, même le plus monstrueux d'entre eux se serait amusé. Mais il s'ennuyait vite. Très vite, beaucoup trop vite pour un criminel. Il se mourrait, presque littéralement.
Aussi, l'arrivée de Sherlock Holmes fut un miracle. Il arriva comme un prétendu messie fait son apparition en terre sauvage et aride. Il lui redonna espoir, et surtout, il lui redonna la vie. La personne qu'il devait haïr devint un sauveur, l'antidote tant fantasmé à l'ennui qui le lancinait depuis l'enfance.
Il devint donc évident que Holmes ne mourrait pas comme un vulgaire mouchard de Scotland Yard. Il ferait durer le plaisir aussi longtemps que possible, il jouerait enfin avec quelqu'un de son niveau. Quelque chose lui disait que la partie d'échec ne faisait que commencer. Et le premier mouvement, il l'avait déjà fait...
It’s a brand new day And the sun is high All the birds are singing That you’re gonna die How I hesitated Now I wonder why It’s a brand new day Spoiler: You'd hate to see me out of control
" WILL YOU WALK INTO MY PARLOR ? " SAID THE SPIDER TO THE FLY. Tous les génies du crimes n'habitent pas des manoirs hantés en marge de la ville, ou des demeures de rêve au Caraïbes. Certains se contentent du strict minimum : un appartement presque vide et parfois glacial en centre-ville, juste sous le nez de la police parce que c'est plus drôle et quelques annexes autour de la cité, au cas où on ressent le besoin urgent de dénicher une planque. Moriarty en possédait plus d'une évidemment, mais il n'avait pas souvent à se dissimuler : peu de criminels encore vivants savaient à quoi il ressemblait, et la poignée qui l'avait déjà aperçu étaient soit bientôt plus de ce monde, soit de rares serviteurs en lesquels il avait confiance. En réalité, ces derniers ne faisaient qu'un, et il s'agissait de la dangereuse personne de Sebastian Moran. Aussi résidait-il (si l'on peut appeler cela comme ça) dans un appartement londonien et tout ce qu'il y a de plus normal. " Que fait-il ? " Le suscité Sebastian leva les yeux et répondit d'une voix professionnellement monocorde : " Il vous cherche " dit-il, " Comme toujours. " Un silence presque pesant s'installa entre les deux associés, ce qui, contrairement à la croyance populaire, était plutôt rare. Si ils ne se ressemblaient guère, Moriarty et Moran avaient le mérite et l'atout de se comprendre parfaitement bien. Le mérite revenait essentiellement à l'ex-militaire, car peu d'esprits -même aiguisés- pouvaient se vanter de comprendre Moriarty. Mais lui y parvenait fort bien, et il savait qu'il ne faudrait que peu de temps à ce dernier pour vouloir rencontrer sa chère Némésis. " Ah " lança Jim avec un enthousiasme non dissimulé, " Il a résolu la seconde. " Se levant d'un bond et avec grâce, il pénétra dans une salle voisine et n'en sortit que deux minutes après. Il avait songé que Sherlock ne parviendrait peut être pas à résoudre une telle énigme, et il avait dépassé toutes ses espérences avec classe. Il ne pouvait nier qu'il était, quelque part, beaucoup plus heureux d'avoir perdu ce round qu'il ne le devrait. En 8 heures seulement, Holmes était parvenu à résoudre l'affaire et à en trouver le fil conducteur. Lui-même devait se l'avouer ; il était plus qu'impressionné, il était admiratif, fasciné par cet unique personnage. " Il a résolu la seconde ! " s'écria-t-il, s'élançant vers son associé. Moran sembla étouffer un soupir peut-être quelque peu agacé (à sa décharge, il s'occupait de chaque détail technique et son fusil commençait sérieusement à lui manquer), mais ne dit rien. Il se taisait respectueusement, comme à son habitude. " Tu sais ce qu'il te reste à faire ", chantonna James en passant à côté de lui. Sherlock Holmes était fantastique. Il réunissait toutes les qualités d'un ennemi, auxquelles s'associaient une intelligence fabuleuse et un esprit fascinant. Pour la première fois depuis longtemps, il n'était plus sûr de gagner la partie. Pire encore, il ne voulait pas terminer la partie. Il la voulait belle, somptueuse, sa victoire. Il voulait savourer chaque moment, croquer chaque instant. Il ne s'ennuyait plus. Et rien n'était plus jouissif que de savoir qu'il en était de même pour Holmes. " The game is on . " Et il ne le laisserait pas se terminer de sitôt.
Dining at the Ritz we'll meet at nine precisely
Pseudo : VanyaÂge : 333 ans, i'm only half evil !Comment avez-vous connu le forum : Par partenariat, il se trouve que je suis l'heureuse co-admin d'Hetalia RPG toussa... Code dans le règlement : Vu par le Doc' Autre chose à ajouter ? J'AIME SHERLOCK BBC COMME MA VIE (ou presque hein) Ah et désolée de poster une fiche aussi peu remplie, mais je voulais me faire remarquer =D
Dernière édition par Jim Moriarty le Mer 17 Aoû - 18:48, édité 29 fois