Citation :

Et c’est ainsi que Valachi termina la tête la première dans son assiette de spaghetti, épouvantant les clients d’un éminent restaurant Italien, une balle entre les deux yeux.

Citation :

Ce n’était pas banal, de ressentir un tel sentiment d’allégresse dans une morgue. Il écoutait d’une oreille distraite le récit des policiers, retenant un sourire ironique à la description de Johnny s’écroulant dans son assiette de pâtes. Visiblement, ils ne le portaient pas dans leur cœur non plus. Après quelques banalités (« Ah, c’est atroce », « Vraiment, quelle violence, c’est insupportable ») ils arrivèrent à la morgue.

Citation :

Johnny, qui n’était déjà pas bien gâté de son vivant, n’avait pas été arrangé par la faucheuse.

Citation :

il essayait de se remémorer l’attitude la plus commune qu’avaient les gens devant un cadavre dans la série Six Feet Under.

Citation :

Et le reste… le reste était mort et donc incapables de produire un son. Quoique, il avait entendu des histoires bien glauques à ce sujet…

Citation :

Elle était jeune, plutôt mignonne mais il ne pouvait s’empêcher d’être suspicieux. Pourquoi l’avait-elle espionné ? Il priait pour qu’elle n’ait pas entendu sa « conversation » avec le macchabée.

MOOON DIEEEEU C'EST QUOI CE RP DE FIFOU. J'avais oublié de mettre ma jour ma dépendance. Juste excellent. Déjà qu'avec Jim/Seb c'était une tuerie, mais là tu m'achèves mon petit Mulder.

Camilla Hansen a écrit:

Stressée, nerveuse, la jeune femme se tordait les doigts sans pitié, ne prêtant pas attention à fait que ses ongles griffaient la peau un peu trop violemment. De nuit, avec des rêves trop agités, il arrivait fréquemment à Camilla de se griffer de cette manière. Elle ne s’en rendait compte qu’au matin et les traces prenaient une teinte grise de vieux cauchemar qui reste et que pourtant l’on oublie.

Un nuage de pluie passa non pas dans le ciel mais sur son visage à elle, une impression de grisaille et de mélancolie, un parfum d’horloges arrêtées et d’étoiles qui ne brillent plus… Camilla sentit alors une douleur glacée lui mordre le cœur… Tout ça parce qu’elle ne savait pas comment parler aux gens. C’est ça d’avoir toujours été seule, c’est ça de pas savoir comment vivre. Oh bien sûr on pouvait argumenter du fait que parler à un inconnu ne mène généralement à rien du tout, mais bon….

Oh. J'avais le coeur serré à ce passage.

Sebastian Moran a écrit:

En soi, ça n’avait rien d’étonnant, il l’avait tué hier soir,

LE RP DE MORAN AHFHZJEFHFEJHFE.

Spoiler:

certes, Jim a déjà tout cité pour moi. mais. mon dieu, ce rp. XDDD je meurs d'envie de répondre *___*
et le pauvre Johnny, on aurait presque pitié.

et, je ne rajouterai que

Citation :

« Poker. Oui. Oui, c’est vrai. Je.. Johnny et moi avons joué, parfois. C’est vrai. Oh, pauvre Johnny… Que lui est-il arrivé ? »

Citation :

« Est-ce que je pourrais.. Être seul un moment ? » , lâcha-t-il, feignant une grande émotion.

quel acteur, ce Sebastian. on y croirait presque

Citation :

Un….. un médecin ?! Instinctivement, Camilla se déporta à l’extrémité du banc, imposant une distance de sécurité entre Watson et elle.

Spoiler:

Citation :

« Le vide n’existe pas, cher Sebastian, pas tel que nous le concevons, en tout cas »

Citation :

Sebastian avait perdu son monde. Le désespoir ne le rongeait pas, il n’avait jamais perdu son temps à espérer quoi que ce soit. En revanche, il avait très souvent l’impression d’être habité par le vide.

Spoiler:

Sebastian Moran a écrit:

"Et le Temps m'engloutit minute par minute,

Comme la neige immense un corps pris de roideur;
Je contemple d'en haut le globe en sa rondeur,

Et je n'y cherche plus l'abri d'une cahute.


Avalanche, veux-tu m'emporter dans ta chute?"

(Charles Baudelaire - Le Goût du néant)

Spoiler:

Citation :

Rien ne pourrait jamais le mouiller, rien. Il avait un parapluie des plus efficaces. Il n’avait donc rien à craindre.

Citation :

Il serra les dents, amer. Tout allait finir. Tout était presque fini, d’ailleurs.

Spoiler:

Citation :

toile tissée par un seul homme, génial despote gouvernant le monde du crime, l’unique criminel consultant au monde… même cette horrifiante vérité, fruit de tant d’efforts et de travail, sombrerait dans l’oubli collectif.

Citation :

Passé tout cela, lui n’aurait plus rien. Que ferait-il ? Tout lui semblerait maintenant creux, fade, vide, insignifiant !

Citation :

« Le vide n’existe pas, cher Sebastian, pas tel que nous le concevons, en tout cas »

Citation :

Il tira sur l’épingle qui retenait ses cheveux. La coiffure était étrangement brouillonne, vite réalisée, sans aucun soin. Il haussa un sourcil, observant ses cheveux tomber sur sa nuque. Ca ne ressemblait guère à du Adler, tant de laisser-aller.
Peut-être qu’elle non plus n’était plus la même femme.

Citation :

Rappel du premier rendez-vous déchaîné. Qu'étaient-ils à se jauger ainsi ? Deux bêtes qui s'étaient cru invincibles.

Citation :

"On s'ennuie de tout, mon ange, c'est une loi de la nature ; ce n'est pas ma faute.*

Spoiler:

Citation :

Irene se leva et servit deux whisky dans des verres destinés au vin.

Spoiler:

Citation :

"Et franchement. Sebastian, vous m'avez déçu. Votre masque est de carton, ce soir."

Citation :

J'aime la poésie (au cas où on ne l'avait pas compris) et j'adore ta façon d'écrire. Si j'étais sûre de ne pas passer pour une maboule, je lirais tes rps à voix haute.

Citation :

En fait, tu squattes mon tumblr pour deviner mes moindres goûts, c'est ça XD ? Je connais presque chaque ligne de ce bouquin (Irène a toujours été Mme de Merteuil pour moi _ mais qu'elle cite VALMONT c'était encore mieux BREF)

DANS MES BRAS L'AMIE. Non je squatte pas ton Tumblr, je l'ai pas.

J'en suis sûre qu'elle sera bien meilleure dans la série. Ca me fait toujours plaisir tes compliments .

Citation :

Bluff, double bluff, triple bluff. Impossible de tricher avec James.

Moran se doutait bien que son talent aux cartes, doublé d’un don incroyable pour mettre au point des fraudes plus sophistiquées les unes que les autres, ne lui servirait pas contre lui.

Citation :

Les expressions faciales de Moriarty défilaient aussi rapidement que les images d’un kaléidoscope. Certaines étaient comme un mirage, on n’était jamais sûr de les avoir vraiment vues (et souvent on l'espérait), d’autres laissaient aussi perplexe qu’un Kandinsky ou un Picasso. Leur interprétation était variée et risquée. Elles ne trahissaient absolument pas leur auteur, qui les maîtrisait à volonté. Il n'était pas acteur de métier, il était acteur de vie.

Citation :

Il redressa la tête, toisant son interlocuteur, un coude appuyé sur le dos de la chaise, les jambes croisées. Personne n’aurait osé se tenir de cette manière au Ritz, même le plus classe des démons. Pourtant, il ne perdait rien de son élégance. Au contraire, il avait le charme de la hardiesse, un côté sauvage et déplacé qui plaisait beaucoup aux dames.
Et il en était conscient. La lueur de.. colère… ? qui illuminait les yeux de Moriarty lorsqu’il jouait à Gatsby ou à Dorian était un vrai délice. Sa petite vengeance. Il se passa la langue sur les lèvres, inconsciemment, avant de briser le silence :

SEX-ATMOSPHERE.

Citation :

« Quant à ce que tu as commandé, tu as bien fait de ne pas te censurer pour ton anniversaire. On n’a pas trente ans qu’une fois, après tout. »
Moriarty fêtait ses vingt-neuf ans.
Et Moran le savait parfaitement.

Mon dieu. Là s'il se prend pas une mandale, je dis châpeau.

Je vais arrêter sinon je citerai tout.

Citation :

Sebastian remplit les verres brillants d'eau – d'une pureté parfaite, c'en était perturbant – et lui lança un regard éloquent. Eloquent, oui, car il y avait absolument tout dans ce regard. Il y avait la nonchalence ( « il ne s'est rien passé, nous discutions avec calme et courtoisie comme toujours » ), le profond agaçement ( « voilà ce que j'en fais de tes remarques puériles, Jim : je les ignore, comme un adulte. » ), la peur furieuse ( « Eton, mais pourquoi Eton ? Il ne s'est rien passé à Eton ! » ) et, bien enfouit sous une couche de calme calculé, un air de léger dédain, une incitation insolente au défi, un « viens, essaye de m'avoir, mais tu n'y arriveras pas, même toi ! » que James ne pouvait pas ignorer. C'était peut-être même la première chose qu'il avait remarquée – cette lueur unique de fierté et d'assurance.

Les parenthèses sont énormes.