Molly Hooper

Must be so boring in that little head of yours !

Nom :

Prénom(s) :

Sexe :

Date et lieu de naissance :

Groupe :

Métier

pour civils

Grade

pour Scotland Yard

Spécialité

pour Criminels

Physique

Si elle plutôt jolie, Molly n’entre pas vraiment dans les critères des canons actuels. Si on lui posait la question, elle se décrirait probablement comme banale, ordinaire. Les hommes ne se retournent pas sur son passage (non pas que ce soit quelque chose qu’elle recherche particulièrement) et à vrai dire, on la prend souvent pour une autre, quand on ne l’a pas tout simplement oubliée. Parfois elle se sent un peu Mrs Cellophane, parce qu’elle a souvent l’impression que lorsque les gens la regardent, ils voient au travers d’elle, comme si elle était invisible. Elle se sent invisible. Elle essaie pourtant parfois de se mettre à son avantage et sait se montrer féminine et coquette, mais la mode, ce n’est pas tellement sa tasse, elle préfère les tenues un peu vintages mais tellement plus confortables. Et puis en vérité, ça lui convient de ne pas se faire remarquer. Elle aime être discrète, c’est sa nature – elle n’aime pas tellement le rose dont se couvre ses joues lorsqu’elle se sait au cœur de l’attention. De toute façon, à quoi bon se mettre à son avantage lorsqu’on ne fréquente que des cadavres ? Elle aime d’ailleurs beaucoup sa blouse blanche de médecin. Sa longue coupe allonge sa taille et lui donne un côté professionnel qu’elle apprécie – cela lui permet de se sentir légitime, et ça lui donne un peu d’assurance.

Elle fait un petit mètre soixante quand elle ne porte pas de talons, et possède une silhouette gracile qui lui donne un air vulnérable - en plus de ne pas vraiment être généreuse en courbes. Elle a une peau très claire, de longs cheveux châtains lisses qu’elle ne coiffe jamais de la même façon deux jours de suite (même si elle a une préférence pour la queue de cheval, simple et particulièrement efficace les jours où elle n’a pas envie de faire de se compliquer la vie). Elle a de charmants yeux noisette qu’elle ne maquille que très peu et comme Sherlock aime à le lui rappeler, des lèvres fines (trop), mais son meilleur alibi reste son sourire, qu’elle porte presque en permanence, même quand elle est triste (surtout quand elle est triste) et qui convient à toutes ses tenues. Pour quiconque sait regarder, il y a cependant en elle, sa fraîcheur et son naturel, une certaine joliesse qui s’émancipe de sa petite taille et de son nez mutin.

Caractère

Dotée d’un caractère très facile, Molly est une optimiste au grand cœur. Enfin, optimiste, sauf en ce qui concerne ses relations amoureuses – ses relations tout court, en fait. Généreuse, humaniste, Molly prête autant d’attention aux autres qu’elle n’en reçoit pas ; c'est-à-dire beaucoup. En contrepartie, il est facile d’abuser de sa générosité car elle a du mal à dire non. Et parce qu’elle n’aime pas les conflits, elle préfère souvent se taire et se laisser marcher sur les pieds, tant et si bien que personne ne l’a jamais vue s’énerver réellement. Cependant, elle se montre souvent plus brave et plus courageuse qu’on ne pourrait le penser. Elle est assez influençable, mais elle-même aime à penser qu’elle sait simplement ne pas se reposer sur ses acquis. C’est d’ailleurs une curieuse de nature qui aime découvrir et apprendre.
Elle est en revanche très sensible et même si par considération pour les autres elle cache beaucoup ses sentiments, il est facile de la blesser comme de la rendre heureuse. Heureusement, elle n’est pas rancunière et pardonne toujours. Molly est une fille simple, sans chichis et pas très exigeante. C’est cependant une grande rêveuse, et elle se surprend parfois à rêver d’une vie différente - mais elle s’est faite à l’idée que cela ne risquait pas d’arriver. Modeste, elle manque beaucoup de confiance en elle et se sent souvent déphasée en société, ce qui explique qu’elle soit une grande solitaire, discrète et un peu farouche. Oh, la solitude ne la dérange pas, mais parfois elle se surprend à souhaiter… peu importe, ça n’arrivera jamais de toute façon. Elle aime le calme et la tranquillité, et en dépit de ses apparences timides et maladroites, c’est une jeune femme intelligente, pas dépourvue d’humour et totalement désintéressée, elle est juste un peu tête en l’air parfois, ce qui lui vaut quelques étourderies. Elle aime se rendre utile et est dotée d’une grande patience. Elle parle peu, mais s’inquiète souvent des autres avec sa douceur et son tact naturel. C’est également quelqu’un qui s’investit beaucoup et elle a d’ailleurs un côté perfectionniste et très dévoué. Studieuse, ponctuelle et rigoureuse, elle travaille avec beaucoup de sérieux et de minutie et ne se plaint jamais. En revanche elle s’excuse et se justifie beaucoup, y compris quand ce n’est pas nécessaire. Elle se remet beaucoup en question et doute sans arrêt mais en dépit des quelques regrets qu’elle a dans sa vie, elle reste positive et déterminée et ne se laisse pas abattre.

On pourrait penser que travailler dans une morgue lorsqu’on a une trentaine d’années et que l’on cherche le grand amour pourrait être macabre voire malsain, mais Molly ne se sent jamais autant dans son élément que lorsqu’elle est sur son lieu de travail. Les morts ne la jugent pas et elle trouve leur compagnie étrangement réconfortante.

Ses relations :

Sherlock Holmes :

Molly Hooper ODrYm

Depuis le jour où elle a pour la première fois croisé ses yeux froids et pâles, Molly ne peut s’empêcher d’avoir un petit saut au cœur quand elle pense à lui. Oh, elle sait qu’il n’y a aucune chance pour qu’il s’intéresse un jour à elle – du moins, pas pour elle-même, car en revanche il sait la complimenter lorsqu’il a besoin de la médecin légiste. Malgré son côté consciencieux, pour lui elle n’hésite pas à contourner les règles afin de l’aider. Une relation qui lui fait plus de mal que de bien, mais elle n’y peut rien ; comme beaucoup elle est fascinée par l’intellect et la talent du seul détective consultant au monde.

DI Gregory Lestrade :

Molly Hooper I4OXr

De par leurs métiers respectifs, elle connaît Lestrade depuis longtemps, mais leur relation est strictement professionnelle et elle ne sait que très peu de choses de lui.

James Moriarty :

Molly Hooper 7xGZR

Si elle était tout à fait honnête avec elle-même, Molly avouerait qu’au départ, le simple fait que quelqu’un puisse sincèrement s’intéresser à elle avait suffit à la faire succomber. Mais peu à peu, elle est vraiment tombée sous le charme de Jim. Ils ont un certain nombre de points communs après tout : ils travaillent au même endroit, il est gentil et un peu réservé lui aussi, et il aime Glee. Alors Molly se surprend à y croire.

John Hamish Watson :

Molly Hooper AXCYF

Tout ce que sait Molly, c’est que depuis que Sherlock l’a rencontré, il l’amène presque toujours avec lui partout. Elle ne le connaît pas bien car ils n’ont jamais vraiment parlé, mais John lui semble être quelqu’un de sympathique. En tout cas, Sherlock est devenu un peu plus aimable à son contact.

Toby :

Toby est le chat de Molly et, très certainement - selon elle - la créature qui l'aime le plus au monde. Elle-même n'a pas de mal à s'avouer qu'elle ne pourrait plus vivre sans lui.

Histoire

Enfant, Molly était le portrait parfait de la fille modèle et surpassait de loin les espérances de la plupart des parents. Sage et disciplinée, elle était gentille, souriante, obéissante et appliquée à l’école. Elle apprenait ses leçons par cœur, et su très vite se montrer responsable et digne de confiance. Elle était fille unique et aimait sa famille plus que tout. Il fallait bien dire qu’à la grande surprise de sa mère, elle n’avait pas d’amis et sortait très peu. Il y avait bien Toby, mais Toby, comme son psychologue le comprit très vite, était un ami imaginaire. On assura ses parents que cela lui passerait. Lorsque Molly entra dans l’âge où l’on commence à faire des expériences avec les rouges à lèvres et les garçons, ses parents s’inquiétèrent de voir qu’il lui arrivait encore de parler à Toby. Oh, ses résultats étaient toujours excellents – à vrai dire, elle était la première de la classe – et grâce à cela, elle parvint à dissiper leurs doutes grandissants. Elle aimait lire et passait des heures seule dans sa chambre. Il arrivait parfois qu’elle rentre chez elle avec un air triste mais personne ne parvenait jamais à lui faire dire ce qui lui était arrivé. Il n’était pas très difficile cependant de comprendre que ses camarades n’étaient pas toujours très aimables avec elle.

Lorsqu’elle eut 15 ans, son père tomba malade et mourut quelque mois plus tard d’un cancer foudroyant. Molly qui ne savait alors pas encore quoi faire de sa vie, décida de dédier celle-ci à une cause utile et se dirigea vers des études de médecine avec le soutien de sa mère qui s’installa en province et se remaria quelques années plus tard.

Molly entra très tôt à la faculté de médecine de Cambridge et obtint des bourses de mérite. Alors que la plupart des filles de son âge s’intéressaient plus à leur éducation sexuelle qu’à leur avenir, Molly ne parlait plus avec Toby, mais était toujours aussi seule. A Cambridge, elle partagea une chambre avec une jeune fille qui était son parfait opposé, exubérante et sûre d’elle, mais suffisamment ouverte d’esprit pour qu’elle devienne ce qui s’approchait le plus de ce que Molly pensait être une amie. Mais celle-ci abandonna ses études après deux ans, et Molly continua seule. Son manque d’interaction sociale lui fit rapidement comprendre que ce qui lui conviendrait le mieux dans la branche médicale était médecin légiste, poste qui répondait à la fois à son besoin de se sentir utile et à son côté solitaire. La jeune fille semblait tellement fragile qu’on aurait pu croire qu’elle tournerait de l’œil dès sa première autopsie, mais à la grande surprise de tous, ce ne fut pas le cas. Molly s’avéra plus résistante à la vue du sang que nombre de ses confrères et ses mains ne tremblaient pas lorsqu’elle avait une paire de ciseaux chirurgicale dans la main.

Elle acheva donc ses études avec succès et revint à Londres où elle se trouva une place dans l’hôpital St Bartholomew, s’installa dans un petit appartement coloré en plein centre-ville et adopta peu après un chat qu’elle nomma Toby en souvenir de son premier « ami ».
Elle parvint tant bien que mal à s’insérer dans l’équipe médicale de l’hôpital – sans être particulièrement proche d’eux, elle s’est découvert quelques affinités avec certain(e)s de ses collègues avec lesquel(le)s elle sort parfois le temps d’un café lorsque la solitude lui pèse trop. Son travail est lui très respecté et lui vaut d’ailleurs le surnom de « Little Miss Perfect ».

Et c’est ainsi que, peu de temps après son arrivée, elle rencontra Sherlock Holmes, tomba amoureuse pour la première fois de sa vie et se heurta pour la première fois également aux parois d’un sentiment qui n’était pas partagé.

TEST DE RP

- Pardon ?
- Le décès, Molly, à quand remonte le décès ?

La pointe d’impatience dans la voix de Sherlock lorsqu’il répéta sa question sembla enfin la tirer de sa léthargie, et il fallait bien ça pour la ramener à la réalité lorsqu’elle se perdait malgré elle dans la mer ombrageuse des yeux du détective. Elle sursauta légèrement et réalisant qu’elle le dévisageait depuis maintenant plusieurs minutes, elle détourna hâtivement le regard, ses joues se colorant légèrement.

-Ah, um.

Elle se racla la gorge avant de porter son attention sur les gants qu’elle était en train de mettre afin de se donner une contenance, puis sur le cadavre qui venait d’arriver sur sa table, presque en même temps que les pans virevoltants de la longue silhouette sombre qui se tenait à ses côtés dans ce manteau qui le mettait décidément trop en valeur. Tout en observant le corps, elle prit quelques notes mentalement. Homme de type caucasien, environ la quarantaine. Touché d’une balle au thorax mais visiblement pas décédé suite aux lésions thoraciques à en juger les yeux exorbités, le visage tuméfié, les lèvres mauves, la langue pendante et les ecchymoses autour du cou. Strangulation. Marques de lutte ici et là : il était donc conscient au moment des faits. Comme souvent, elle ne put s’empêcher de ressentir un peu de pitié pour lui mais Molly ne s’attarda pas là-dessus. Non pas qu’elle n’eut aucune pitié pour les morts, mais comme elle l’avait vite compris, la vraie tragédie se jouait pour ceux qui restent et non ceux qui partent. Sa seule façon de leur rendre un dernier hommage était d’aider à déterminer la cause de leur mort et si possible, lorsque la situation le requérait, en permettant à Scotland Yard d’attraper le meurtrier.
Elle continua de palper le corps froid et pâle pendant quelques secondes, testant la rigidité des membres, avant de donner son verdict :

- Environ 7 ou 8 heures.

Le détective hocha de la tête comme si c’était une évidence – c’était sûrement le cas, comme souvent elle ne faisait que confirmer ses soupçons.

- Autre chose ?

Elle leva brièvement le regard vers lui. Elle savait qu’il voyait aussi bien qu’elle les différentes marques sur le corps, mais savait également que c’était sa façon de procéder. Elle acquiesça donc et continua :

- Il s’est clairement débattu – on peut le voir ici, et là, ainsi que les griffures ici…

Accompagnant ses mots de gestes, elle désigna les différentes marques, et s’interrompit en apercevant un éclat dans les yeux de Sherlock qu’elle ne connaissait que trop bien.

- Des griffures, oui.

Il saisit le poignet du cadavre pour le porter à son attention. Molly les observa de plus près. Les marques étaient nettes et particulièrement profondes. Des ongles longs.
Sherlock s’empara d’une pince et préleva délicatement un bout d’ongle inséré dans la plaie. Le plaçant sous une loupe, lui et Molly se penchèrent.

- Du vernis… murmura-t-elle, surprise.
- Exactement, Molly !

Il semblait aux anges. Elle fronça les sourcils.

- Mais il est mort de strangulation. Et à en juger sa corpulence, il aurait fallu une femme particulièrement forte pour –
- Précisément.

Elle sembla encore plus perplexe.

- Je ne comprends pas…

Il leva les yeux au ciel mais Molly savait qu’en réalité rien ne lui faisait plus plaisir que de faire étalage de ses connaissances.

- Ils étaient deux. Les signes de lutte doivent provenir du moment où ils ont kidnappé ce cher M. Harris…
- Kidnappé ?
-Oui, bien sûr, kidnappé, répéta Sherlock avec impatience. Il était porté disparu depuis plus de 48 heures, vu pour la dernière fois à son lieu de travail, jamais rentré chez lui selon les dires de sa femme. Et là…

Sherlock souleva le bras, désignant une petite piqure dans le bras que Molly n’avait pas encore repérée mais qui n’avait bien sûr pas échappé au regard perçant de Sherlock.

-Injection intraveineuse. Je parie que lorsque vous ferez analyser le sang vous y trouverez des traces de Propofol ou d’un anesthésique du genre. Pas terriblement difficile à se procurer lorsqu’on travaille comme aide-soignante, n’est-ce pas ?

Sherlock eut un sourire triomphal : il en savait déjà bien plus qu’il n’en avait besoin. Bien sûr, il connaissait déjà la réponse, il l’avait sue bien avant d’entrer dans la morgue. Il ne faisait que chercher des preuves – qu’importe la confiance que Lestrade lui accordait, il n’avait pas encore le pouvoir d’accuser et de faire inculper des gens sans preuves solides et concrètes.

- Les échantillons sont déjà partis au labo, répondit Molly faiblement, hypnotisée par la voix de son interlocuteur, mais celui-ci était déjà en train de repartir de son pas rapide, téléphone en main, répondant à la hâte : « Envoyez-moi les résultats dès que vous les aurez », et il disparu sans attendre sa réponse.

La porte claqua derrière lui, laissant Molly hébétée aux côtés du cadavre. Oh, elle avait l’habitude et ne se formalisait certainement pas des départs précipités de Sherlock. Il était comme ça et elle ne l’aurait changé pour rien au monde, bien que… Elle secoua la tête. La morgue semblait toujours étrangement vide après les départs énergiques du détective qui arrivait à chaque fois de façon totalement impromptue. Elle s’appuya contre la table et poussa un petit soupir. Ces brèves entrevues avaient souvent le don de la faire se sentir insignifiante – du moins, plus que d’habitude – mais au moins, elle arrivait parfois à obtenir l’intérêt de Sherlock. De façon indirecte, certes, et très brève mais… c’était mieux que rien.

Elle se mordit la lèvre et retourna son attention sur le corps dont la partie inférieure avait été pudiquement recouverte d’un drap blanc – mort ou pas, Molly Hooper tenait à respecter les corps qui arrivaient sur sa table. Avec un petit regard triste, elle se surprit à envier le mort et se sentit coupable à cette idée. En dépit de son état, il parvenait à obtenir l’attention d’un certain détective plus facilement qu’elle et il recevait en ce moment même la sienne, en plus d’avoir une famille qui se souciait de lui – c’était bien plus que ce à quoi Molly pensait pouvoir prétendre le jour de sa mort, excepté si celle-ci devait survenir dans des circonstances particulières. Mais cela n’avait aucune chance d’arriver. Après tout, elle n’était que Molly Hooper, qui donc pourrait bien s’intéresser à elle, morte ou vive ?

Pseudo : Ty
Âge : 23 ans
Comment avez-vous connu le forum : En faisant une recherche Google sur le colonel Moran !
Code dans le règlement : Vu par le doc'
Autre chose à ajouter ? J’ai nécessairement pris quelques libertés par rapport à l’histoire de Molly vu qu’on en sait très peu, et je n’ai pas trop développé la partie concernant Moriarty car je ne savais pas bien où l’histoire était supposée se placer par rapport à la série, en espérant donc que ça ira. Concernant la partie RP, je me suis permise d’utiliser Sherlock, j’espère que ça ne dérange pas !
Aussi, je n’ai pas su si Molly était du groupe civils ou Scotland Yard – sa fiche prédéfinie était rangée dans cette dernière catégorie, mais il me semble avoir lu ailleurs que c’était une civile...
Dernier point: je ne peux pas charger d'avatar qui fasse plus de 150x200, et dans les règles la taille maximale semble être 200x400...

Bonjour,
je n'ai pas encore lu ta fiche mais pour l'avatar tu devrais l'héberger sur un site et ensuite dans la catégorie avatar, mettre l'URL dans "Lier l'Avatar à partir d'un autre site :"
voila ^^

J'ai déjà essayé (je suis passée par les trois choix en fait), mais rien à faire, il le redimensionne à la taille maximale autorisée à chaque fois. :/

ah okay... bizarre
envoie moi url de la photo, je vais corriger ce problème ^^

Bonjour et bienvenue

John: Meh. A peine arrivée je fais déjà tout détraquer!
Voici le lien - merci! Smile

Irene: Oh, hey, sexy! Very Happy

Merci!

Problème réglé

Rapide et efficace! Merci beaucoup!

Bonsoir~

Comme ta fiche semble terminée, je me permets de débarquer.

Commençons par les questions, déjà,
Pour le groupe de Molly, oui, on a longtemps hésité sur le forum… Au départ, elle était chez les Civils, sans grande raison logique en fait, maintenant que j’y pense. Sauf qu’on envoyait tous les autres médecins légistes chez les Scotland Yard (puisque "médecin légiste"… enfin, tout est dans le job en fait) et la précédente Molly a montré ce paradoxe en fait. Donc depuis, on a rangé sa fiche chez les Scotland Yard, ce qui est plus logique d’un point de vue profession en fait.
Ensuite, pour la liberté dans la fiche, Molly est un personnage qui a de plus en plus d’importance dans la série mais niveau histoire, c’est vrai que Moffat & Gatiss ne nous ont pas servi encore grand-chose, juste quelques détails par-ci par-là. Si tu reprends ces détails et que tu improvises en restant dans le contexte, il n’y a aucun problème !

Ensuite, concernant ta fiche… J’ai quelques points qui me dérangent concernant le personnage de Molly en elle-même en fait. Bien sûr, c’est un personnage de la série et chacun en fait une interprétation plus ou moins personnelle. Il y a juste quelques points qui me chiffonnent car ils sont en contradiction avec le personnage et même parfois avec certains éléments de ta fiche...

Déjà,

Citation :

Elle essaie pourtant parfois de se mettre à son avantage et sait se montrer féminine et coquette, mais la mode, ce n’est pas tellement sa tasse, elle préfère les tenues un peu vintages mais tellement plus confortables.

Que Molly n'entende rien à la mode, jusque là, je suis d'accord. Qu'elle reste tout de même féminine et coquette, là aussi je suis d'accord puisqu'elle a franchement le style d'une petite fille bien élevée. Mais vintage ? Je ne sais pas si le mot lui correspond vraiment pour le coup. Je ne sais pas si tu sous-entendais autre chose, mais c'est un style tellement à la mode et tellement valorisant quand on parle d'une petite robe vintage que ce n'est pas vraiment dans les tons de Molly. Molly n'a, après tout, aucun sens du style et lorsqu'elle flirt un peu avec la mode pour plaire, c'est vraiment avec maladresse, avec exagération même. On voit que ce n'est pas son secteur.

Autre chose, un peu superficiel et encore dans le physique,

Citation :

elle n’aime pas tellement le rose

Justement, je crois que si... Molly a une personnalité très enfantine et je pense que le rose, sans être sa couleur fétiche ou quoi, n'est pas exclu.
Il y a justement le blog de Molly avec son design assez fantasque pour démontrer ses goûts je dirai. Comme tu semblais le connaître également.

Ensuite, au niveau du caractère, quelques détails encore qui ne conviennent pas tellement :

Citation :

Et parce qu’elle n’aime pas les conflits, elle préfère souvent se taire et se laisser marcher sur les pieds, tant et si bien que personne ne l’a jamais vue s’énerver réellement. Cependant, elle ne manque pas de caractère pour autant et se montre souvent plus brave qu’on ne pourrait le penser.

Le début est nickel, mais pourquoi "cependant, elle ne manque pas de caractère [etc.]" était nécessaire ? Si Molly a un caractère passif, inutile de trouver des excuses ou une compensation. Surtout si c'est en contradiction. Bien sûr qu'elle pourrait avoir du caractère dans des cas extrêmes, puisqu'elle est humaine. C'est comme dire "untel est très naïf. Cependant, il se méfie de tout le monde", c'est un peu maladroit et contradictoire.
Si tu entendais qu'elle a la tête froide et qu'elle réservait pas mal de surprises à cause de son métier, peut-être utiliser des termes moins "naïfs", moins larges.

Pour :

Citation :

On peut la croire influençable ; elle-même aime à penser qu’elle sait simplement ne pas se reposer sur ses acquis.

On peut la croire ou elle est influençable ? Il y a une grande différence et concernant le cas de Molly, je dirai qu'elle est facilement influençable.

Pour le reste, entre l'histoire et le Test RP, j'ai vu peut-être quelques fautes mais rien de grave.

Donc, je dirai que le physique et le caractère donnent l'impression d'être un peu fouillis, pas vraiment ordonnés et je n'ai pas vraiment l'impression de lire du Molly comme j'en avais l'impression en lisant l'histoire et le RP.

Voilà voilà, bon courage et à bientôt !
Si tu as la moindre question ou le moindre doute, n'hésite pas à nous contacter.

Alors, alors...

D'abord, merci pour la précision sur le groupe, au moins c'est clair!

Sherlock Holmes a écrit:: Que Molly n'entende rien à la mode, jusque là, je suis d'accord. Qu'elle reste tout de même féminine et coquette, là aussi je suis d'accord puisqu'elle a franchement le style d'une petite fille bien élevée. Mais vintage ? Je ne sais pas si le mot lui correspond vraiment pour le coup. Je ne sais pas si tu sous-entendais autre chose, mais c'est un style tellement à la mode et tellement valorisant quand on parle d'une petite robe vintage que ce n'est pas vraiment dans les tons de Molly. Molly n'a, après tout, aucun sens du style et lorsqu'elle flirt un peu avec la mode pour plaire, c'est vraiment avec maladresse, avec exagération même. On voit que ce n'est pas son secteur.

Quand je dis "vintage" je pense pas au genre rockabilly pin-up qui revient en force façon robes sexy et chaussures à talons, mais vraiment vintage, vintage façon "comme chez mémé". C'est juste une façon de dire "rétro", old school, ça renvoie pas à une mode à proprement parler pour moi, et Molly n'y pense très certainement pas de cette façon (je doute qu'elle l'ait remarqué de toute façon).

Mais quand je vois ça (images de la série sous le spoiler):

Spoiler:

Citation :

Autre chose, un peu superficiel et encore dans le physique,

Citation :: elle n’aime pas tellement le rose

Justement, je crois que si... Molly a une personnalité très enfantine et je pense que le rose, sans être sa couleur fétiche ou quoi, n'est pas exclu.

Je pense qu'il était important de ne pas sortir la phrase de son contexte. Je la replace donc:
"elle n'aime pas tellement le rose dont se couvre ses joues lorsqu’elle se sait au cœur de l’attention" - c'est une autre façon de dire qu'elle n'aime pas rougir, tout simplement. Ok, c'était un effort raté de faire un peu imagé, mais bon. Bien sûr qu'elle aime le rose en tant que couleur!

Citation :: Le début est nickel, mais pourquoi "cependant, elle ne manque pas de caractère [etc.]" était nécessaire ? Si Molly a un caractère passif, inutile de trouver des excuses ou une compensation. Surtout si c'est en contradiction. Bien sûr qu'elle pourrait avoir du caractère dans des cas extrêmes, puisqu'elle est humaine.

Pour être honnête, je ne l'ai pas mise au départ, cette précision. Mais en relisant son blog je suis retombée sur l'article où elle dit grosso modo qu'avec Sherlock elle se laissait marcher sur les pieds mais qu'elle n'était pas comme ça normalement, seulement avec lui. (Citation exacte: "Is it wrong that I let him talk to me the way he does? I'm not like it with other men. Just him.")
Ca m'a fait pas mal hésiter parce que je l'ai interprété comme une façon de dire qu'en général elle ne se laissait pas faire, et ça m'a pas mal perturbée parce que dans mon interprétation du personnage elle est justement plutôt du genre à se laisser malmener, du coup j'ai voulu rattraper un peu... Oui, c'est maladroit, je vais enlever ça.

Citation :: On peut la croire ou elle est influençable ? Il y a une grande différence et concernant le cas de Molly, je dirai qu'elle est facilement influençable.

Pareil, c'est quelque chose que j'ai ajouté après relecture de son blog pour lui donner un peu plus de caractère. De façon générale j'avoue trouver la Molly du blog un peu différente de celle de la série et j'ai essayé de réunir les deux visions, mais si ça ne tenait qu'à moi j'aurais fait fi de certains détails de son blog. Par exemple, du fait de son travail et donc de ses études supposées, j'imagine qu'elle est plutôt intelligente, surtout que le surnom "Little Miss Perfect" me semble mérité, mais sur son blog elle paraît pas très maligne... qu'elle ne sache pas modifier le contenu de son article, bon soit, disons qu'elle n'est juste pas douée avec la technologie (même si apparemment elle sait en revanche mettre des chatons et des fleurs un peu partout sur son blog). Qu'elle oublie de censurer le nom de Sherlock, bon, disons qu'elle est étourdie, je l'imagine volontiers. Mais qu'elle ne sache pas écrire "lovelier"? Ca m'a un peu choquée. Ce n'est pas un mot très compliqué et je ne pense pas que Molly soit sotte donc j'ai essayé de plutôt privilégier la version "intelligente" mais juste un peu maladroite, je l'avoue.
Du coup, j'ai essayé de remanier la fiche en conséquence, en tenant compte de ce que le site disait d'elle, mais visiblement ça se sent, et j'en suis la première désolée. Donc bon, si ça vous convient, j'aime autant supprimer les passages montrés du doigt.

Après, j'ai jamais été douée pour faire les fiches. Je pense que je me débrouille en RP, mais les fiches... ugh. Trop factuel pour moi, je suis toujours nulle à ce jeu là, même pour la partie RP dans les fiches, je sais pas bien pourquoi. Bref, en tout cas j'ai modifié.

MOOLLYYY ! I love you

Pour moi, c'est le personnage le plus touchant et attachant de la série. Une vraie perle ^^
Anyway, bienvenue ! Ravie de te compter parmi nous Wink

Je suis complètement d'accord Very Happy

Et merci. (Uh. Karen Gillan.

)

... Hello?

Bienvenuuuue Molly **

Ne snobe pas Fye UU elle bosse "avec toi" à la morgue.

Merciii

Snober? Non c'est pas son genre, bien au contraire - elle est juste un peu timide mais un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal!

*passe par là*

Oui, sincèrement désolé du retard, mais je vais te demander un peu de patience, c'est Sherlock qui doit s'occuper de ta fiche et nous sommes tous les deux très occupés (notamment par les examens qui arrivent)
Merci donc d'attendre, et non, nous ne t'avons pas oublié.

Pas de problèmes, merci de m'avertir Smile