•Messages : 9 •Arrivé(e) le... : 07/04/2012 •Réside à... : Londres. •Fiche : Spy on me baby
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Sujet: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Mar 10 Avr - 21:32
Must be so boring in the little head of yours !
Nom Moriarty Prénom(s) : James (contracté Jim) Sexe : Mâle Date et lieu de naissance : Très approximatifs, Irlande (Dublin), aux alentours d’octobre 1976 Groupe : Criminel Métier: Spécialisé en opération à grande échelle, terrorisme, jeu de piste, il se réapproprie l’intitulé d’Holmes, Criminel consultant.
Ft [Andrew Scott]
SIGNALEMENT
Boutons de manchettes ivoires, costumes sur-mesure, Jim Moriarty pioche allègrement dans le catalogue du dandysme anglais dont il revendique l’apanage et sollicite les créateurs. Sa silhouette cintrée et passe-partout avance avec ressort. L’homme est léger, petit, un rien pathétique. Quand il n’accompagne pas ses apparitions de petits pas de danse, son impulsivité demeure dans sa gestuelle et les vibrations de sa voix. D’un naturel extrême, il change de timbre aussi brutalement que d’humeur. Pour s’attirer la sympathie, il déguise ses tics et ses agitations avec un radical affolant. Riche d’un panel d’expressions infini, Jim Moriarty se démarque aussi par un jeu de sourcil aux multiples possibilités. L’arcade légèrement brisées en son milieu évoque certains acteurs expressionnistes allemands au-dessus d’une paire de rétines profondément noires scindées par des paupières tombantes. Les traits de son visage sont durs et creusés. Son front haut se poursuit d’une plantation de cheveux très équilibrée, noirs et courts, plus ou moins peignés. Sa pilosité poursuit son cours sur les tempes et le menton soigneusement mal rasés jusque sur la pliure de son cou. Un chewing-gum renforce souvent les mouvements de sa mâchoire. Ses mains propres et manucurées papillonnent autour de la poche où est glissé le téléphone portable. C’est un grand corps nerveux et souple contenu dans des trois pièces qui se fond dans la masse aussi aisément qu’il en sort, avec toute l’élégance qu’il se doit.
CARACTERE
Vif, grandiloquent, avec un attrait pour la théâtralité, Jim Moriarty met en scène à échelle urbaine les vices de ses contemporains. Ayant fait son business du meurtre, du terrorisme, des chantages et autres enlèvements, de tout ce qui s’attache à la morbidité, l’homme développe une indifférence terrifiante. Parfaitement conscient de sa propre horreur, son cynisme le préserve de compassion. Monstrueux de narcissisme, il considère plus ou moins le reste de l’humanité comme de la merde, massivement ou individuellement. Son sang même pullule d’immondices, de caillots noirs et pourris. Ses paroles rejettent des volutes épaisses qui corrompent l’air. D’un geste tranquille il répand autour de lui un mystère fumeux qui le rend impossible à pister et à saisir. Il se complait à dompter la foule de loin et à repérer les êtres utiles parmi l’affluence de chair à canon. Se plaçant aisément très au-dessus de la masse humaine, le nom même de Jim Moriarty ne dit rien à personne. Il agit comme un dieu discret trop au sommet pour être vu. Son action est néanmoins omniprésente dans la vie londonienne. Sa toile part des gratte-ciels et descend flirter avec les tréfonds de la ville, là où la came est recoupée au pneu. Le crime est un marché insensible à la crise. Il suffit de se pencher au moment adéquat sur l’épaule du meurtrier potentiel pour lui proposer l’excellence de ses services. Depuis Eden, l’homme ne sait pas résister.
A l’instar de son grand opposant, Jim Moriarty ne trouve à s’épanouir que dans le travail acharné. La brutalité de ses humeurs et sa bipolarité totale correspondent à l’exercice de son activité principale. Il met en place ses jeux de piste puis se pose sur un fauteuil et trépigne en même temps que la bande se déroule. L’extase du voyeurisme finit néanmoins par se faner. Arrivé complètement au sommet de son réseau, Moriarty sombre dans l’ennui. La lassitude est sa bête noire. La moindre baisse de régime le fait plonger en dépression. Cette boulimie prend une place aussi importante que l’oxygène dans ses poumons. Lui-même totalement imprévisible, il cherche à rendre le monde amusant mais se heurte au cruel manque d’imagination de ses jouets. Devenu plus amer, il retrouve le goût de l’adrénaline avec Sherlock Holmes. Regarder le détective revêche enchaîner les pas sur son dancefloor lui rend le souffle. Holmes fait ses preuves et devient le centre de ses préoccupations. Véritablement obsédé, il conçoit le reste de son existence comme un combat interminable jusqu’à ce que l’usure en tue un. Holmes, c’est son cœur jumeau, sa Némésis, le ying de son yang, le McDonald de son José Bové. Il devient sa parfaite antithèse et renforce toute l’ambiguïté d’un lien qui surpasse le sentiment humain : Sherlock Holmes l’occupe.
D’un naturel très élégant, très anglais, Jim Moriarty est doué d’un talent d’acteur absolument effrayant. Capable de faire abstraction de tout ce qui le caractérise d’habitude, il s’en sert pour se mêler au commun des mortels. Mimer des sentiments lui est aisé. Il serait ainsi en mesure de mener une vie de famille avec toute la bonne foi nécessaire puis changer de casquette du jour au lendemain. C’est ainsi qu’il a séduit Molly Hooper et a obtenu un nombre de petits boulots incalculables. Ses couvertures sont nombreuses et variées.
Asexuel, trop haut pour chercher le plaisir simple, Moriarty nourrit son propre malheur avec une cruauté infinie. Il mêle les rancunes d’un enfant immature et l’amertume d’un vieillard bicentenaire et s’écorche lui-même. Jim Moriarty est aussi consistant qu’un brouillard comme on en voit sur les photos truquées du gars Jack. On ne sait rien de lui, on ne voit que ce qu’il veut bien montrer : une pourriture qui pollue l’eau des fleuves.
REPERTOIRE
Sherlock Holmes Dans les quelques bonnes raisons de ne pas se tirer une balle dans le bec trop vite, Sherlock est une des plus solides. Sur ses frêles épaules de petit chimiste, Holmes porte l'espoir de jours joyeux où l'ennui n'existe pas tant il danse bien. La moindre déception pourrait-être fatale mais c'est rare, tellement rare, de trouver. Il lui donne la graisse pour rouler puis lui remet des bâtons dans les roues. Pour l'atteindre, il s'approprie volontiers les rares éléments de sa vie sociale, Watson, Mycroft et bien entendu, Molly.
Clients identifiés Jeff Hope (décédé), Shan (décédée), Raoul de Santos, Wenceslas, Irene Adler.
Sebastian Moran Petit bijou militaire ravissant à porter au pourpoint. Moran est d'abord une coquetterie, le plaisir d'avoir le top du must à portée de main. S'il commet parfois quelques erreurs de jugement, le tireur est un allié formidable, reçyclable à l'infini qui jusque là s'est toujours montré très utile. Heureux témoins du va et vient des humeurs de Moriarty, le mentor s'est habitué à la présence armée de son rustaud accolyte.
HISTOIRE
“ Like gazing up at a mountaintop. You look up and wonder, how could anyone have climbed that high?" Martin Scorsese
Si on est en droit de considérer que, malgré son mécanisme singulier, Jim Moriarty est le produit d’une procréation classique, les informations à son sujet sont beaucoup trop restreintes pour la constitution d’un arbre généalogique quelconque. Vraisemblablement natif de Dublin comme en atteste un fort accent irlandais, on l’imagine grandir dans un milieu déjà pourri et faire ses premiers pas dans un film de Scorsese. Jim Moriarty semble s’être construit tout seul, vomi par l’enfer ou quelques prés de ce genre. Rapidement déraciné, il est scolarisé à Londres. Ses diplômes ne sont pas inventoriés mais sa maîtrise des sciences humaines et chimiques attestent d’un parcours brillant. Son profil intellectuel ne fait pas de doute, Jim est une tête. Sans doute n’en était-il pas autant de ses capacités sportives. Un de ses camarades, Carl Power, champion de natation du lycée et jeune imbécile de surcroît s’attire ses griefs. A l’origine ce sont quelques moqueries sans fondements, peut-être même juste un rire sans parole. Moriarty s’arrange déjà avec la mort. En 1989, on recense son premier forfait mais il est évident que ce n’était pas son baptême. Carl Power se noie dans l’eau de la piscine après qu’on ait empoisonné la crème qui soignait son eczéma. Sa mort restera inexpliquée dix-neuf ans même si un certain Sherlock, déjà fouille-merde à l’âge du nombrilisme, tente de faire coordonner quelques fâcheux détails. En vain cette fois.
Sa vocation lui apparaît assez tôt. En vieillissant, Moriarty tisse sa toile. Il s’attire des fidèles, supprime des réticents, écrit les fondements d’un commerce qui le propulsera ensuite au sommet d’un réseau immense. Donnez-nous votre argent, on vous sort l’arme du crime, on vous trouve même la victime et la bande jaune pour délimiter la scène (mais attention, l’avocat n’est pas fourni avec les piles). Moriarty à des hommes, beaucoup d’hommes qui furètent et trouvent le gibier. Comme il aime bien les objets de luxe, il fait venir la crème des tireurs internationaux pour réunir à Londres une petite collection d’engins performants. Qu’il s’agisse de cacher le cadavre, de faire taire le témoin ou de faire monter les enfants dans la camionnette, son patronyme court sur les lèvres des pervers manquant de moyens et de créativité. Le dit-pervers est souvent amené à bouffer les pissenlits par la racine dans les mois suivants son heure d’extase, prudence oblige.
Jeff Hope, taxi de son état et cancéreux puant est sponsorisé dans l’accomplissement de sa passion : tuer ses clients. Poursuivi et immobilisé par Sherlock Holmes, il crache le doux nom de son mentor avant de mourir dans un rictus immonde. Les tonalités de Moriarty grésillent alors de plus en plus souvent dans les oreilles de Sherlock Holmes et, d’abord furieux, Jim s’en accommode merveilleusement. S’amusant à paraître omniprésent dans toutes les affaires qui occupent la justice londonienne, il cherche assez vite un contact plus direct avec celui qu’il a érigé en égal. En traînant sur le blog de Molly Hooper, légiste un rien stupide comme on les aime, il découvre les lieux qu’aiment fréquenter Holmes et séduit la petite blondinette dans l’idée d’une première rencontre. Elle a lieu, il en ricane encore. Il est probable que Moriarty ait Holmes dans le visu depuis beaucoup plus longtemps. Devenu son challenge, il organise autour de lui des farandoles de jeux tous plus cruels les uns que les autres à base de tic-tac et de voix qui pleure.
TEST DE RP
“In a world of locked rooms, the man with the key is a king”. Moriarty, Sherlock BBC
Les escaliers ou l’ascenseur, l’ascenseur ou les escaliers. Au même titre que les mains, Jim n’aimait pas user de ses pieds plus que nécessaire. Il appella l’ascenseur tout en programmant la bande son qui l’accompagnerai dans la montée. Comme d’habitude ses saloperies sont interminables à arriver. Avec un ti-ding joyeux les portes s’ouvrirent sur un grand miroir et se refermèrent sur lui. Avec le pouce, il caressait le dos de son téléphone en choisissant sa destination. L’italien venait de se louper. Jim lui avait fait changer les pneus mais la victime avait survécu au renversement et cet abruti était parti sans prendre la peine de lui écraser la tête correctement. Aucun savoir vivre. Le dilemme était de savoir si on laissait l’accidentée vomir ses tripes dans le fossé et revenir en stop ou si on envoyait quelqu’un. C’était une jolie petite pute camée jusqu’aux yeux, elle ne manquerait à personne. C’était pour son dealer latino qu’il faudrait bientôt appeler une ambulance. Il fit claquer son chewing-gum bruyamment. C’était déjà une affaire finie. C’était dit, « soit tu viens à l’adresse que je te dis et on te casse la gueule à la maison soit on t'envoie des copains et ça sera pire ». On allait chez lui, c'était plus confortable.
L’ascenseur s’arrêta en pleine course. Le néon au-dessus de sa tête grésilla une minute puis s’éteint dans un Z plaintif. Génial, le voilà héros d’un film d’horreur de série B. Bouh, Hannibal est sur le toit, prend garde Clarice. Son index chercha une application « relancer la machine » sur l’écran surchauffé de son mobile mais de toute évidence Steve Jobs était mort avant de penser aux choses capitales. Il chercha dans les boutons celui qui appelait le concierge et enleva ses écouteurs. Pourquoi est-ce qu’il était venu déjà ? D'un geste d'abord las puis sensiblement plus nerveux, il pianota sur les boutons dorés. Tous les étages le boudaient. Quelle situation originale. Une petite musique retentit entre les quatre murs, un morceau de Chopin savamment dégommé par une instrumentation électronique made in Japan, dans le but de rassurer l'utilisateur. Il retira sa veste et la posa sur son avant bras en continuant de chercher un moyen de communiquer avec l'extérieur.
« -Allô ? »
Ne paniquez pas, ceci est une erreur du système, un de nos techniciens va bientôt vous répondre, tin tin tin… Jim Moriarty ne panique pas. Comme le technicien tardait à faire entendre sa douce voix, il ouvrit deux pages, une petite recherche Google sur le comment garder son calme dans un endroit clos et celle qui envoie un SMS à Moran. Pendant plusieurs minutes, il resta planté au milieu de la cabine droit comme un mannequin de vitrine. Il hésita à acheter une ventoline en ligne. Le placement demandait réflexion, il choisit de faire un saut sur The Science of Deduction. Holmes ne dit rien sur l’asthme dans les espaces confinés. En ce moment son truc ce sont les chiens de laboratoire. Il n’allait pas la démonter lui-même, cette boîte, bon sang. Dans l’obscurité, il n’avait même pas le loisir de se brosser les sourcils dans la glace. Il détestait encore plus l’italien et son appart à la con. Moran devait déjà être là-haut depuis un moment. Moriarty dénoua sa cravate bleu ciel. Un petit objectif de caméra lui faisait coucou avec son petit lampion rouge clignotant. Il essaya de coller son chewing-gum dessus mais son bras était trop court pour atteindre l'oeil. Après avoir fait craquer sa nuque, ses doigts, ses genoux, ses orteils et s'être chauffé la voix, il prit un élan pour envoyer un premier coup dans la porte et commencer à crier –le site le déconseillait mais il n’avait pas la place de faire la position du lotus, et en ce moment il n’aimait guère les lotus pas plus que la mafia chinoise. Une voix lointaine surgit de la boîte et l'empêcha d'abîmer sa dignité et son costume.
« -Il y a quelqu’un dans la cage ? Répondez s’il vous plaît. »
Le mot l'amusa, il rugit. La voix lui demanda si ça allait et le prévint qu'on allait venir le débloquer. Monsieur ne vous inquiétez pas. Oh merci. Youhou, ça se rallume. Les portes s’ouvrirent sur l’étage cinq. Par prudence, il fit la suite du chemin en escalier. L'ascenseur l'insulta avec quelques notes discordantes.
Ding dong, Hypolito, on est là, pardon y avait du monde sur le périf’. Moriarty jette veste et cravate sur l'épaule d'un de ses sbires. Ses trois amis déboulèrent dans l’appartement et fouillèrent toutes les pièces pendant qu’il partit en quête d'un fauteuil entier. Hypolito n’est pas là, le monde entier lui fait faux bond. Avec son chewing-gum, il lui colla un post-it « Viens voir papa » sur la fenêtre. Il croisa les jambes dans son fauteuil, le petit gars se réveillait tous les matins avec la bouteille de gin coincée entre les dents, il n’irait pas loin. On l’attendrait là et on installe déjà un ordi sur la table du salon. Hop, une carte apparaît avec le petit point rouge qui symbolisait sa voiture. Un des trois remet sa veste et va le chercher. Moriarty lui dit de ne pas prendre l’ascenseur. Qu’est-ce que c’était lent. Au secours. Londres clignote derrière la fenêtre, la face pas touristique. Ce qu’il foutait là…
Foutue Baskerville. Sherlock reviens, on s’en fout des lapins fluos.
Pseudo : Monsieur. Âge : 16 Comment avez-vous connu le forum : Je tourne autour depuis quelques mois, aujourd’hui je saute dans le vide. J’ai certainement du vous heurter sur un partenariat. Code dans le règlement : Vu par Sherly Autre chose à ajouter ? Votre design est magnifique, votre rp est riche, je suis béat. Comme je vois que je suis le troisième à essayer de rentrer les chaussures du petit Jimmy, je transpire d’angoisse. Et ça me fait perdre des cheveux. En espérant ne pas vous laisser l'impression de relire tout le temps la même chose, je suis à vous.
Dernière édition par Jim Moriarty le Jeu 12 Avr - 11:55, édité 4 fois
Jim Moriarty
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Sujet: Re: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Mer 11 Avr - 17:08
Oh, je confirme que cette fiche a été livrée à maturité.
Molly Hooper
•Messages : 12 •Né(é) le... : 07/11/1980 •Arrivé(e) le... : 06/04/2012 •Âge : 43 •Réside à... : Londres •Fiche : .She Who Counted. •Thème : Left In The Dark
Sujet: Re: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Jeu 12 Avr - 11:45
Je sais pas trop si j'ai le droit de me taper l'incruste vu que je suis pas validée et toi non plus, m'enfin pour ce que ça vaut: j'ai tout lu et personnellement j'adore ton Moriarty
Jim Moriarty
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Sujet: Re: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Jeu 12 Avr - 12:34
Promis je ne dirai rien. Merci beaucoup d'avoir prit cette peine mon chaton, c'est un personnage légèrement...compliqué, je n'arriverai jamais à la cheville d'Andrew Scott mais ton compliment est tout à fait adorable. Ce sera sans doute un plaisir de s'étendre sur nos quelques jours de vie commune dans une fiche de lien. A très bientôt, Molly !
Faye Klein Civil | I am the Heaven. The Deathly Heaven.
Sujet: Re: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Jeu 12 Avr - 21:38
Contrairement à ces groupies hystériques chères consœurs, je ne vous jetterai pas des fleurs Jim Moriarty. Bienvenue quand même.
Spoiler:
BOUDIOUUUUU CETTE FICHE EST JUSTE MAGIQUE, JE T'AIME JIMMY. FAUT PAS CROIRE QUE LA VIERGE M'INTERRESSE PLUS QUE CELA. MY ASS MY HEART IS YOURS non mais sérieux j'adore ton style d'écriture, clair mais concis. J'espère vivement que tu seras validé
Sujet: Re: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Jeu 12 Avr - 21:38
Bien le bonsoir,
Alors, déjà, pour faire retomber la pression (et que tu retrouves une tignasse décente), je te rassure tout de suite : John et moi prenons en compte le fait qu’on connaît très, très peu de détails sur Moriarty et que s’étendre sur l’imagination reste un terrain très dangereux pour un personnage clé et aussi complexe.
Alors, concernant mon jugement… Honnêtement, j’aime énormément ton style : rebondissant, fluide et je n’ai remarqué aucune faute. Tu reprends ce que l’on sait déjà de Moriarty en complétant toutefois son portrait, de tes propres initiatives (le fait qu’il n’aime pas le sport, ce côté dandy/fashion victim, etc… enfin, ces petits détails que j’aime). Bref, tu sembles réussir à te l’approprier à travers la fiche, ce qui est nickel !
C’est pour ça que, de mon côté, je serai ravie de te valider. Ce qui retarde la validation, en fait… C’est que je n’ai pas discuté encore avec John et étant donné le personnage, mon avis seul ne compte pas vraiment. Donc je lui laisse le dernier mot à partir de maintenant.
Ps : mon avis n’est pas du tout influencé par le fait que j’écoute Stayin’ Alive.
Et au plaisir de recevoir une autre énigme, mon cher.
Jim Moriarty
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Sujet: Re: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Jeu 12 Avr - 22:19
Irène tu es un ange. Fais moi croire qu'Elle t'interresse beaucoup au contraire, je pourrai alors presque t'inviter à dîner. Je connais un petit chinois sympa et c'est pas comme si t'étais désagréable à regarder manger entre deux sms.
Merci infiniment et ne vous en faîtes pas pour moi, Holmes, je peux largement attendre. Je suis en vacance ce qui explique que je passe quarante fois par jour mais j'ai conscience que ce n'est pas le cas de tout le monde. Tous ces commentaires me rassurent déjà, j'en parlerai à mon coiffeur. Enrichir est loin d'être le mot mais disons que j'ai essayé de meubler un peu avec ce qu'on sait et ce qui à l'air de coller. Si ça vous plaît, je suis comblé. Prenez tout votre temps les gars, restez en vie.
Sujet: Re: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Ven 13 Avr - 8:24
*pousse toutes les groupies au loin avec son balai* (Non mais ho XD)
Comme l'a déjà dit Sherlock, je pense que tu n'as pas de soucis à te faire, j'ai adoré ta fiche de présentation de A à Z. Je te valide donc. Pense à faire une demande de rang (très important) et ouvrir un pour faire le listing de tes RPs et surtout bon jeu parmi nous.
PS: La musique était juste parfaite.
Jim Moriarty
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Sujet: Re: Spy on me baby use satellite | Jim Moriarty Ven 13 Avr - 8:43