Sherlock 21st Century
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Sherlock 21st Century

Forum RPG inspiré par la série Sherlock de la BBC
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Partagez | 
 

 "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité



"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} _
MessageSujet: "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}   "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} EmptyMer 29 Fév - 16:37


Must be so boring in the little head of yours !



"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} Tumblr_lygzswqWPX1qbz7q1o1_500
©️tumblr


"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} Fistanalyze
Nom : Hodgson
Prénom(s) :Olivia, Susan
Sexe :Féminin
Date et lieu de naissance :18 Avril 1981 à Bath
Groupe :Civils
Métier :Journaliste investigatrice
Ft Rose Byrne


"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} Andthen

Physique♥️ Extrait de l'entretien avec Peter Abott, serveur dans un Starbuck Coffee
« Olivia Hodgson... Comment ne pas se souvenir d'un joli minois comme celui-là ? Il est vrai que des visages j'en vois tous les jours, mais quand c'est un visage pareil qui revient presque tous les jours, et bien forcément ça aide pour la mémoire...

Alors vous voulez que je la décrive ? Et bien comment dire... Déjà elle est plutôt grande, assez fine, presque un mannequin mais pas aussi maigre et grande, et puis... Enfin, les hommes dans le café la regardent souvent si vous voulez vraiment tout savoir. Je ne dis pas que je ne la regarde pas non plus mais... Hum... On va dire que c'est vrai qu'elle est belle, voilà. Vraiment belle. C'est mon avis, mais je pense qu'il est partagé par la plupart des gens qui la croisent. Même quand elle marche ! Elle possède une façon de marcher qui la rend incroyablement désirable, et ce même si elle ne doit pas s'en rendre compte. Mais je pense que c'est aussi ce qui fait son charme.

Côté vestimentaire, elle s'habille classe, tout en gardant un style assez décontracté. Un jour je l’ai vue en tailleur et jupe. Même si ça fait assez strict, elle était incroyablement jolie et pour vous le dire encore une fois, je n’étais pas le seul à l’observer du coin de l’œil. Après, il y aussi lorsqu’elle est plus décontractée, c'est-à-dire lorsqu’elle ne va pas au boulot. Dans ce cas là, elle opte plutôt pour des t-shirts assez bohêmes, qui lui confèrent un look, « baba-cool chic » comme disent toutes les soi-disant filles « in ». Je ne pense pas qu’elle se rende compte, ou même qu’elle prenne un soin si important que ça à son style vestimentaire… C’est comme les bijoux. Il me semble ne l’avoir jamais vue avec des bijoux… Enfin si peut-être deux ou trois fois… En tout cas ce n’était pas plus flagrant que ça.

Après son visage... Évidemment je ne vais pas vous cacher que c'est ce que je préfère chez elle. Elle a un beau teint beige, légèrement rosé au niveau des joues et de légers grains de beauté qui restent assez discrets. Elle se maquille discrètement au niveau du rouge à lèvre et la plupart du temps, elle rajoute un peu de fard à paupières, tout en restant naturelle. Justement ses yeux... Marrons comme ses cheveux, ils possèdent vraiment quelque chose de triste, presque de mélancolique même si un simple sourire arrive à... Je ne sais pas vraiment comment dire ça mais un de ses sourires arrive à « illuminer » son visage... Oui je sais, l'expression est un peu niaise mais bon, on fait avec ce qu'on a. Donc, les yeux d'Olivia... C'est d'ailleurs à cause de ça que je l'ai regardée longuement prendre son café... Ne pensez pas que je suis fou d'elle mais je la tiens en grande estime on va dire. Puis après, il y a sa bouche, rose et fine et ses cheveux mi-longs encadrant son visage. Elle a pour habitude de les laisser libres, mais je préfère largement lorsqu'ils sont attachés. Elle a aussi une frange, qu’elle essaye tant bien que mal de mettre sur le côté… […] Voilà, je pense avoir fait le tour... Bon je dois y aller... Au plaisir ! Et, euh... Si vous croisez Olivia ne lui dîtes pas tout ce que je lui ai dit, sinon à mon avis elle me prendra définitivement pour un fou. »


Caractère

♣️ Extrait de l’entretien avec Mary Miller, journaliste
« Vous voulez que je vous parle d’Olivia ? Et de son caractère en plus ? Vous ne manquez pas de toupet ! Qui êtes-vous pour… Ah d’accord, je vois… Non mais comprenez bien qu’avec les évènements qui se sont produits je suis un peu, disons, réticente à parler d’Olivia comme ça au premier venu… Non mais je comprends bien… […]

À vrai dire, Olivia a toujours été… Un peu particulière. Mais dans le bon sens du terme bien sûr. Enfin en tout cas avec moi. Sinon, c’est vrai qu’elle est assez cynique voire… Agressive avec des gens qu’elle n’apprécie pas particulièrement. Mais attention, si il y a bien quelque chose que je ne peux qu’apprécier chez elle c’est sont sens de l’observation. Ainsi, elle ne jugera jamais une personne avant de bien l’avoir cernée, de définir en elle son caractère. Elle aurait fait une merveilleuse psychologue si elle avait continué dans cette voie, bien entendu. Je me souviens qu’elle faisait preuve d’une patience en or avec ses anciens patients, et pourtant quels patients ! Je me serais vite emportée si j’étais à sa place ! Bon, il y a quelque chose pour laquelle Olivia n’est pas très forte, c’est la prudence. Enfin, elle en use pendant un certain temps et après, fait une erreur, de la plus simple à la plus grosse… Et puis avant, sa bonne humeur et son humour ne pouvait que faire oublier ses petites fautes. Je dis bien « avant » parce que depuis ce qui s’est passé il y quelques mois… Vous n’en avez pas entendu parler ? […] Oui, donc, bref, depuis cet incident, son état psychologique s’est nettement dégradé… Olivia avait déjà montré ses faiblesses à la mort de son père et à la mort d’un de ses patients, mais avait réussi à surmonter tout ça alors que maintenant… Elle semble perpétuellement en état de songe et bien qu’elle veuille me le cacher, elle va mal. Elle essaye de me le dissimuler, pour ne pas m’inquiéter mais je le sais. Je suis sa meilleure amie, mais c’est vrai elle reste quand même une tête de mule aguerrie en me répétant cent fois qu’elle va bien. Parce qu’Olivia est aussi très obstinée et lorsqu’elle veut quelque chose, elle s’arme de toute sa volonté et son courage pour l’obtenir, même si ça la conduira à sa perte. […]
Je ne dirais pas qu’elle est psychologiquement instable, mais elle est plus faible qu’avant, oui ça c’est sûr. Elle qui avait un caractère si bien trempé… [Elle soupire] Parfois je l’admire pour le courage dont elle a fait preuve lors de la construction de son dossier, et c’est pour ça que j’essaye, tant bien que mal de retrouver cette Olivia que je connaissais avant. Celle qui respirait la joie de vivre et qui faisait appel à un sang-froid et d’une détermination implacable après les séances avec ses patients ou lors de son enquête. Pas celle qui, maintenant semble si perplexe, et ce continuellement, et qui m’assure qu’elle va bien dans un sourire forcé… »


Ses relations :

♦️ Extrait de l’entretien avec Olivia Hodgson, ancienne psychologue, actuellement journaliste
« […] À part Mary, je ne pense pas entretenir des rapports proches… Si, ma mère bien sûr. Et puis il y a mes collègues, les anciens détenus de la prison, qui m’apprécient plutôt bien… Ensuite, certaines personnes de Scotland Yard aussi, avec qui j’ai travaillées pour mon dossier… Et puis après tous les autres criminels, avec qui… Enfin ceux avec qui je n’entretiens pas forcément les meilleurs rapports du monde… »


Histoire

♠️ Deuxième extrait de l’entretien avec Olivia Hodgson, ancienne psychologue, actuellement journaliste
« […] On m’avait prévenu de votre arrivée. Mary est assez bavarde en fait… Dans son cas c’est plutôt une qualité qu’un défaut, enfin ça dépend des moments, évidemment… Vous avez eu raison de venir me voir. En fait c’est même mieux, parce que, je ne vois personne qui puisse me connaître assez pour raconter mon histoire. Et puis… J’ai envie de parler.
Alors commençons par le commencement… Je suis née un 18 Avril 1981 à Bath, dans un milieu plutôt aisé, étant née de l’union d’un père médecin et d’une mère avocate. Tous deux s’aimaient sincèrement et j’ai été élevée d’un environnement que je juge moi-même, très chanceuse d’avoir eu. Malgré leur argent, mon père et ma mère avaient un caractère réfléchi et naturel et tâchaient toujours de m’apprendre des choses d’un ton calme. Ayant un caractère moi aussi assez calme et posé, mes parents n’ont pas eu de mal à m’éduquer et mon enfance se déroula paisiblement. Vers mes 12 ans, mes parents achetèrent une petite maison à Londres qui, et ça je le savais, était peut-être petite mais chère. Ils continuèrent de m’élever tandis que moi, je découvrais la merveilleuse et grande ville qu’est Londres. Mais peu à peu, l’adolescence arriva et l’envie de liberté qu’entraîne la plupart du temps cette période aussi. Mon caractère qui n’avait été que tranquillité et patience, était sur le point d’exploser pour devenir agressif, voire violent. Mes parents décidèrent de me mettre en pensionnat et la rupture avec mon cocon familial, que je ne cherchais qu’à fuir, me ravisa : l’internat ne dura, pour moi, que 2 mois. »

[Elle sourit] « Ces deux mois me servirent de leçon et c’est là-haut que je rencontrai Mary. Elle aussi a quitté l’internat et nous ne nous sommes plus quittées depuis. C’est d’ailleurs elle qui m’a encouragée à faire des études de psychologie. Parce que ma passion, c’était ça. Comprendre les gens, les observer, les écouter parler. Comprendre. Ce mot m’obsédait et c’est pour ça que j’ai décidé de travailler comme psychologue dans une prison. Je n’avais que 25 ans mais je me sentais prête. Prête pour écouter ces personnes et comprendre. J’ai été embauchée. Le personnel pensait que je ne tiendrais pas une semaine. Au final je suis restée 1 an et demi. Deux mois avant que je ne décide d’arrêter, il y a eu un nouvel arrivant. Il s’appelait Martin et avait été arrêté pour vol à mains armées dans un magasin et blessures par balles sur des policiers. Dans la prison j’étais bien connue des prisonniers et tous m’appréciaient plus ou moins, mais on me traitait toujours avec respect, et cela malgré mon jeune âge dans la profession. Martin me demanda en rendez-vous seulement 2 jours après son arrivée en prison, ce qui m’étonna car les demandes de rendez-vous se faisaient rarement en un si petit laps de temps. On avait diagnostiqué Martin comme quelqu’un de troublé et il le sembla encore plus lorsqu’il parlait avec moi. Au fil des séances, il me paraissait de plus en plus effrayé, oui, vraiment effrayé par quelque chose. Il parlait sans arrêt de sa petite amie, Lily, qu’il voyait tous les mercredis. Malgré son amour pour elle, Martin était convaincu d’une chose : il ne voulait absolument pas sortir de prison. Quelque chose, une idée, s’infiltra dans mon esprit et me parue alors de plus en plus évidente. Marin avait voulu être en prison, il avait décidé qu’il irait parce que dehors quelque chose lui faisait peur. Le rendait presque fou. Et puis un mercredi, Lily ne vint pas et on apprit à Martin qu’elle était à l’hôpital, entre la vie et la mort, suite à un accident de voiture. L’état du jeune détenu s’aggrava de plus en plus, il refusait cependant de me dire ce qui lui causait autant de mal et ça depuis le début. Et puis, Lily décéda. Martin devint silencieux et ne dit plus rien. Et finalement, un jour, il me pressa de le voir. Notre rendez-vous se déroula dans sa cellule et Martin n’avait jamais été aussi calme. Il semblait résolu et après les habituelles questions, il me lâcha le plus calmement possible : « Elle a été tuée. » Je me souviendrais toujours du regard qu’il me lança. Il avait évité le mien depuis le début de la séance et m’avait à ce moment regardé d’un regard si triste, si suppliant, que je n’ai pu que ressentir un frisson me parcourir le dos. J’avais été quelque peu interloquée par cette déclaration brutale et il profita de mon étonnement pour m’exposer sa théorie : on avait tué Lily et c’était de sa faute. Il s’emmêlait dans ses propos et la fin de son récit se termina par des bafouillages confus. Il refusa toute question et me fît sortir de sa cellule. Ma journée se termina par un questionnement incessant. Et une pensée me frappa, brutalement dans mon appartement à Fleet Street. Je pris l’un des premiers taxis que je trouvai et lui ordonna de m’amener à la prison. En arrivant, le mal était fait, Martin s’était suicidé. »
[Elle marque une pause] « Quelques jours après son suicide dans sa cellule, je démissionnai de mon poste de psychologue. J’étais prise d’un remord immense, moi qui était celle qui devait éviter ce genre d’accident et j’avais failli. Pourtant c’était évident, Martin n’allait pas bien, moi-même le marquant dans mes rapports et je l’avais laissé se tuer, consumé par un mal, par une peur qui me questionnait mais que je n’avais pas cherché pas à comprendre alors que c’était mon but premier. Ce pourquoi j’avais décidé de faire ce métier. La même année mon père décéda, d’une crise cardiaque. Je décidai alors de m’occuper de ma mère, qui ne voyait plus de raison de vivre. Je sentais que je la perdais et que je me perdais également, mais Mary était là. Elle a toujours été là et sans elle, je n’aurais pas eu le courage de faire ce que j’appelle, mon « projet M ».

M comme Martin évidement, parce que tout est parti de lui. Et projet parce que ça représentait mon projet. Le projet. Vous avez sûrement dû en avoir un dans votre vie, non ? Quelque chose auquel vous tenez à cœur et que vous n’abandonnerez pour rien au monde. Le mien était simple : comprendre pourquoi, ce qui avait poussé Martin à se tuer. Je voulais en faire un dossier. Mary, étant elle-même journaliste, m’a aidée à obtenir quelques contacts dans le milieu. J’ai travaillé comme pigiste dans plusieurs journaux, pour vivre et pour me laisser assez de temps pour me consacrer au projet. Pendant 3 ans, j’ai fouillé, pris des photos, fait appel à des anciens de la prison où je travaillais. Je savais que c’était un risque à prendre, mais j’ai continué, toujours désireuse de comprendre. Et j’ai compris.
Londres, comme toute autre ville, et une ville de lumière, laissant apparaître tout son éclat aux autres. Que ce soit par de son économie ou de part son mélange des cultures. Mais, comme le dit si bien le dicton, sur toute zone de lumière apparaît une zone d’ombre. Et on ne montrera pas l’exemple aussi bien qu’ici. Parce que, même si la criminalité est plus, enfin, semble plus présente dans d’autres villes dans le monde, elle est ici et mon enquête me l’a montré avec autant de surprise que de violence. Trois grands groupes de criminalités s’opposent dans cette ville : le groupe criminel anglais, celui sur lequel bizarrement, j’ai trouvé le moins d‘informations, le groupe criminel italien, groupe qui avait réussi à s’implanter en Angleterre, et ce dans d’autres villes du pays avant de venir s’installer à Londres, et enfin le groupe asiatique, celui s’occupaitt principalement d’un commerce florissant entre l’Angleterre et l’Asie. Martin, lui, avait eu affaire avec le groupe anglais, dans une simple histoire de vente de drogue et d’argent perdu. Une simple affaire qui ne pardonne pas et causant au total 2 morts, Martin et sa petite amie.
J’ai donc écrit, et remis en ordre 3 ans de recherches avant de d’envoyer ce dossier au journal The Guardian. J’ai longuement hésité avant de signer ce dossier mais au final, je l’ai fait. Un article sans signature, montre le manque de courage du journaliste, moi qui en avais usé pendant tout ce temps, pensais-je à ce moment là. Mais ne pas signer, aurait aussi contribué à une sorte de protection, comme si l’auteur de tout ceci n’avait jamais existé. J’aurais été invisible et le laps de temps pendant lequel les trois groupes auraient cherché à me retrouver auraient été un peu plus long. Mais ma subite imprudence fut et je me le suis promis, ma dernière.
Le dossier est paru sous forme d’un presque hors-série. Je ne pouvais être plus flattée, et devant le succès du dossier, le journal me proposa une place dans sa rédaction. L’euphorie de toute cette agitation continua avec plusieurs arrestations provoquées par mon dossier mais aucun démantèlement ne fût opéré : ces groupes de criminels sont bien trop puissants pour être détruits d’un claquement de doigts. »
[Elle marque une pause et pousse un soupir] « Et puis un soir… En rentrant du journal, à une heure assez tardive, on m’a suivie. Je commençai à paniquer et une voiture s’est arrêtée près de moi. On a ouvert la portière et poussé dedans. Bien sûr j’ai essayé de m’enfuir quand la voiture s’est arrêtée mais la personne me suivant m’a… Injecté quelque chose dans le bras… Et… Cette nuit là j’ai été battue et je ne peux que me rappeler d’une chose : les coups, de plus en plus… » [Elle s’arrête et enfouit son visage dans ses mains] « Et ce coup de téléphone, qui je le croyais signait mon arrêt de mort… Puis ensuite cette sensation d’engourdissement, le dernier coup et le noir. »
[Elle nous regarde à nouveau] « Je me suis réveillée dans une chambre d’hôpital. Des fleurs étaient un peu partout autour de moi. Les infirmières ont semblé surprises de me voir et pour cause: j’étais restée dans le coma 3 mois. Cette attaque, je l’ai apprise plus tard, avait eu une un énorme impact sur la remise en cause de la protection des journalistes dans des affaires, celles qui « dérangent ». Et ce partout dans le monde.
Je ne sais pas trop comment terminer mon histoire. Par une note positive ? Mary et ma mère sont toujours en vie et la justice essaye de faire de son mieux pour empêcher la criminalité de s’intensifier. Ou par une note négative ? Non, car tout le monde sait que les gens préfèrent largement les happy ends. »



"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} Finalyp
TEST DE RP

"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} Tumblr_lvxpicTvOX1qziov3o2_500
Don't panic - Coldplay
La piqure. Violente mais furtive qui fît basculer Olivia dans le noir. Les yeux de Martin qui se reflètent partout autour d’elle. Ses éternels yeux lançant ce message qui la poursuivrait jusqu’au bout… Et ce regard où la tristesse se reflète seule…
« Allez, on se réveille là dedans ! »
Premier coup. Premier coup d’une longue série d’autres. De la violence gratuite et dans une presque obscurité. En effet, il n’y avait qu’une source de lumière très faible, assez faible pour qu’Olivia ne puisse pas voir le visage de ses agresseurs.
De toute évidence, Olivia le savait. Elle l’avait su dès la première interview qu’elle avait faite, dès le premier mot qu’elle avait écrit sur son ordinateur, elle s’attendait à ça. Mais, l’euphorie provoquée par le dossier, la joie d’avoir trouvé un emploi stable, tous ces évènements lui avaient fait oublier le danger que représentait ce qu’était d’avoir essayé de comprendre. Olivia n’écoutait plus, elle ne cherchait plus à entendre ce qu’ils lui disaient. Elle repensait à Mary, à sa mère, les personnes qui comptaient le plus à ses yeux et dont elle avait préféré s’éloigner plutôt que de les mettre en danger. Or en ce moment même c’était elle qui était en danger. En danger de mort même. Chaque coup lui semblait être le dernier, elle s’attendait à ce que l’obscurité soit totale. Mais une sonnerie de téléphone l’arracha de sa torpeur.
« Ça y est. De toute façon, une balle dans la tête ça sera déjà plus rapide que ce calvaire » Mais non, une phrase encore, presque un grognement et un dernier coup, plus violent que les autres, suivit d’un nouveau passage dans l’obscurité.

Le réveil fût brutal et il faisait encore sombre lorsqu’Olivia se réveilla. Elle décala lentement sa tête vers son réveil qui affichait l’heure avec l’imperturbable silence régnant autour. 4h32 du matin. Ce qui signifiait que non, Olivia ne se rendormirait pas et par contre que oui, cette nuit était officiellement classée comme une mauvaise nuit. Elle se plaqua les mains contre son visage. Elle était en sueur et ses draps aussi, mais n’avez, en aucun cas envie de sortir de son lit. Le lit avait toujours suscité chez Olivia un sentiment de réconfort, comme une muraille que l’on ne peut pas franchir. Que les draps l’entourant la protégeaient de tous, des monstres étant petite, mais aussi des cauchemars et ça à tout âge. Or Olivia avait bien été obligée de se rendre à l’évidence : son lit était en ce moment un bien piètre gardien de nuit. Et puis après le réveil brutal qu’avait eu la jeune femme, Olivia se rendît compte également, que finalement la chaleur qui imprégnait son corps et son lit l’étouffait et elle décida alors de se lever, ôtant ses draps pour ensuite apprécier le léger froid qui la parcourait. Elle observa le plafond de sa chambre un instant où se reflétait les lumières que laissait passer les rideaux de ses fenêtres. Dans une heure, Londres commencera à se réveiller lentement et prudemment, et à cette idée Olivia décida de se lever complétement. Elle se dirigea vers la salle de bain pour se passer de l’eau sur le visage et se releva du lavabo. Elle se regarda dans un miroir.
« Quelle mine épouvantable !
- Mais non, ne dis pas ça. Tu es fatiguée, voilà tout. » Olivia avait déjà entendue Mary dire ça, la rassurer des centaines de fois, mais rien n’y faisait : elle avait une mine épouvantable. Elle ouvrit machinalement la boîte à pharmacie se trouvant dans le placard que dissimulait ce miroir. Elle regarda longtemps la boîte d’antidépresseurs que lui avait prescrits son psychologue, il y a une semaine déjà. Quelle ironie ! Une ancienne psychologue qui parle à un autre psychologue. Mais tout ceci avait été inutile, Olivia le savait bien et l’avait en fait su dès le premier rendez-vous que Mary lui avait pris. Olivia était partie en claquant la porte violemment, et s’était rendu compte de son bon choix en devenant journaliste. Ce fût d’ailleurs l’une des rares fois où elle avait perdu patience avec quelqu’un. Malgré tout, elle avait quand même été cherchée ces médicaments et en avait pris pendant une semaine, sans succès. La seule chose qui marchait c’était le chocolat. La mère d’Olivia en prenait toujours lorsqu’elle allait mal et sa fille ne pût que reproduire le même schéma en espérant que ça l’aiderait. Mais en y réfléchissant, la jeune femme se rendit compte que lorsqu’elle buvait un chocolat chaud ce n’était pas à cause de ce qu’il y avait dans le chocolat qui lui remontait un peu le moral, mais c’était la simple sensation d’avoir cette tasse chaude entre les mains et de repenser aux souvenirs que lui apportait un tel moment de dégustation.
Pendant que le lait chauffait dans la casserole, le regard d’Olivia se posa sur son ordinateur. Cela faisait depuis presque deux semaines qu’elle n’avait pas allumé ce dernier et qu’elle n’avait pas ouvert Word pour y taper ne serait-ce que quelques phrases. Elle avait essayé plusieurs fois d’écrire dans son calepin, des sujets pour son retour au travail mais rien n’y était inscrit. L’angoisse de la feuille blanche. Dans une semaine elle retournerait à la rédaction sans aucun sujet en poche. Alors, elle s’arma de tout son courage-du moins celui qu’il lui restait une matinée d’hiver et à 5h03 du matin- et s’assit face à son ordinateur, la tasse de chocolat sur son bureau. Elle respira profondément, et l’alluma. Hélas, malgré toute sa bonne volonté, Olivia se rendit rapidement compte que vivre en ermite sans regarder la télévision ou lire les journaux n’apportait rien de bon à une journaliste en manque d’inspiration. La tasse de chocolat chaud se vida lentement, Olivia essayant de repousser le moment où elle ne pourrait plus boire le délicieux breuvage sucré. Elle s’accouda su son bureau en regardant son ordinateur, patiemment, comme si les mots allaient eux-mêmes s’écrire, ce qui n’avait aucune chance de se produire. Ses yeux commencèrent à s’embrumer et un mal de crâne commença à apparaître lorsqu’elle décida de retourner dans son lit. Elle regarda à nouveau son réveil. Il était 5h41 et elle entendait les bruits de Londres de jour se faire entendre dans la rue. La tasse de chocolat n’était même pas encore finie lorsqu’elle s’endormit, bercée par les bruits des gens au dehors qui s’activaient par cette journée d’hiver.



"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} Andwho
Pseudo :Anna
Âge :15 ans
Comment avez-vous connu le forum : Google, l’annuaire forumactif… En fait je n’en ai plus aucune idée… La vieillesse que voulez-vous… Razz
Code dans le règlement : Vu par le doc
Autre chose à ajouter ? J'ai fouillé un peu dans le forum, et ce depuis longtemps déjà [et oui j'avais déjà préparé ma présentation mais je ne savais pas si je devais m'inscrire ou pas... Et finalement... ^^ Le fait que ce soit un très beau forum et sur Sherlock (en plus !) m'a fait choisir...] et j'ai vu que vous étiez en manque d'effectif concernant les hommes... Or je tenais à m'excuser par avance du fait d'avoir choisi une femme connaissant votre demande... Donc voilà. Et par la suite j'aurais plusieurs questions mais ce n'est que par la suite, donc je vais vous laisser un peu de répit...


Dernière édition par Olivia Hodgson le Ven 9 Mar - 20:37, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
John H. Watson
Admin | Dr. Estrangeloved
Admin | Dr. Estrangeloved
John H. Watson

•Messages : 524
•Né(é) le... : 29/07/1975
•Arrivé(e) le... : 19/09/2010
•Âge : 48
•Réside à... : 221B Baker Street
•Fiche : The man in the crowd
•Thème : I'm not your boyfriend !

ID.
☂ Profession: Docteur
☂ Casier Judiciaire:
☂ Rumeurs:

"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} _
MessageSujet: Re: "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}   "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} EmptyMer 29 Fév - 20:24

Donc bienvenue sur le forum et courage pour le reste de ta fiche ^^
Revenir en haut Aller en bas
http://mooselikejensen.fr
Invité
Invité



"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} _
MessageSujet: Re: "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}   "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} EmptyVen 2 Mar - 16:12

Merci beaucoup ! Smile J'espère ne pas mettre des siècles pour finir ma fiche...
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} _
MessageSujet: Re: "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}   "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} EmptyVen 9 Mar - 20:44

Bon, ça y est j'ai fini ma fiche...
Je sais, double-post. Je suis désolée, mais j'avais édité mon ancien message pour vous l'annoncer mais vous n'aviez apparemment pas vu... ^^
En y réfléchissant je n'ai pas franchement de questions à poser mais je tiens quand même à faire quelques remarques (sur ma fiche, don't worry ! ^^):
~ Je tiens à m'excuser par avance des fautes. J'ai procédé à une petite re-lecture où je ne pense avoir corrigé que les plus grosses fautes mais il peut quand même y en avoir...
~ Je m'excuse également de mon test rp. Je sais qu'il n'est pas très long (comme le reste de ma fiche qui est, comparée aux autres, ridiculement courte) et je suis prête à le rallonger un peu si vous trouve qu'il n'est pas satisfaisant.
~ Je suis retournée voir la mise au point qui avait été écrite pour les nouveaux inscrits, et je suis allée chercher ce qu'était une "Mary Sue" ou "Gary Stu" (non, je ne suis pas une inculte, enfin... - -') et je suis alors devenue un peu paniquée... En effet, je me suis demandée si la fin de l'histoire concernant Olivia était cohérente et si ça ne faisait pas trop Mary Sue justement. Mais je désirais d'abord connaître votre avis plutôt que de me lancer dans un renouveau de son histoire.

Voilà j'ai (enfin) fini ! Je n'attends plus que vos commentaires...
Revenir en haut Aller en bas
John H. Watson
Admin | Dr. Estrangeloved
Admin | Dr. Estrangeloved
John H. Watson

•Messages : 524
•Né(é) le... : 29/07/1975
•Arrivé(e) le... : 19/09/2010
•Âge : 48
•Réside à... : 221B Baker Street
•Fiche : The man in the crowd
•Thème : I'm not your boyfriend !

ID.
☂ Profession: Docteur
☂ Casier Judiciaire:
☂ Rumeurs:

"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} _
MessageSujet: Re: "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}   "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} EmptyDim 11 Mar - 15:41

Bonjour,

(pas la peine d'avoir fait un up, j'avais déjà vu la première fois, manque de temps de ma part.)

Donc après avoir lu attentivement ta fiche, je t'annonce que je ne peux pas te valider. Voici donc une liste de points pour justifier mon choix.

1) Les fautes.
Une relecture sera bénéfique pour ta fiche, ou sinon, utilise www.bonpatron.com, mais il reste tout de même des grosses erreurs dans ta fiche.

2) Ton personnage

Je pense qu'il serait mieux, pour que tu puisses RP, que ton personnage arrive sur le forum quelques mois après son agression. Nous ne demandons pas que ton personnage respire la joie de vivre, loin de là, je pense juste qu'il serait judicieux qu'Olivia puisse avoir du recul par rapport à sa situation et cela te permettra, en tant que joueur, d'avoir de meilleures possibilités de RP. Donc je pense que le mieux, est de rallonger ton histoire en expliquant sa transition.

Autre point concernant l'histoire: pourquoi avoir séparé ainsi les criminels de Londres? Cette description ne correspond pas à celle du forum, merci d'en tenir compte.

Voilà, si tu as des questions, surtout n'hésite pas.


Revenir en haut Aller en bas
http://mooselikejensen.fr
Invité
Invité



"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} _
MessageSujet: Re: "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}   "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} EmptyDim 11 Mar - 19:08

Je m'attendais à ces remarques et je tiens à changer ce qui ne va pas. Je viens de re-lire mon histoire et je me suis rendue compte que oui, ça me semble beaucoup plus simple pour la suite de faire une Olivia... Disons moins dépressive... _ _' Pour les différents groupes de criminels je trouvais aussi que quelque chose clochait mais j'attendais d'abord votre avis. Et puis les fautes c'est à corriger donc... En tout cas ces remarques me donnent encore plus de conviction quant à mon inscription sur ce forum où la qualité des personnages inventés semble être plus importante que le nombre de membres inscrits. ^^
(Pardon pour le up qui ne servait à rien...)
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} _
MessageSujet: Re: "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}   "Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson} Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

"Have you ever danced with the Devil at the pale moonlight?" Unfortunately, yes. {Olivia Hodgson}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sherlock 21st Century :: Pour bien commencer :: Archives du RPG :: Fiche non terminées ou refusées-