Sherlock 21st Century
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Sherlock 21st Century

Forum RPG inspiré par la série Sherlock de la BBC
 
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 And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas

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AuteurMessage
Lukas Dalloway
Civil | Trust me, I'm the doctor.
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Lukas Dalloway

•Messages : 16
•Arrivé(e) le... : 16/01/2012
•Réside à... : Lambeth
•Fiche : My whole brain just went "what the hell ?"
•Thème : We don't need another hero

And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas _
MessageSujet: And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas   And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas EmptyLun 16 Jan - 21:00

Must be so boring in the little head of yours !


And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas Fistanalyze

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Nom : Dalloway.
Prénom(s) : Lukas, Charles.
Sexe : Masculin
Date et lieu de naissance : 30 Mai 1981, Londres.
Groupe : Civils.
Métier : Psychologue.
Ft [Matt Smith]

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Physique

Oh my God, qu’est-ce que c’est que cet alien ? Peuvent se demander les gens qui croisent Lukas dans la rue ou ceux qui le rencontrent pour la première fois. Il est vrai que sans ressembler à une créature extraordinaire, le jeune homme n’a pas un physique quelconque et il ne fait rien pour se rendre plus « passe-partout ». Il domine son monde d’une tête, avec son bon mètre quatre-vingt-cinq, et pourtant il est loin d’impressionner comme il arrive que les géants de son espèce le fassent. Lukas n’est définitivement pas quelqu’un de musclé. Il n’est pas maigre non plus, mais sa silhouette plus mince et souple que la moyenne des trentenaires lui confère l’allure d’un grand adolescent qui n’a pas encore fini sa croissance. Impression d’autant plus justifiée par son côté un peu excentrique, sa manie de toujours bouger les bras et les mains, comme s’il avait constamment besoin d’être en mouvement. Un petit côté hyperactif refoulé ? Peut-être. Toujours est-il que cette habitude de toujours être en mouvement le fait résolument ressembler à un enfant qui ne tiendrait pas en place. Même dans sa démarche, ses mouvements vifs, ses expressions on retrouve toujours la trace de cet enfant qui n’a jamais vraiment voulu le quitter.

Lukas est doté d’un visage long, ciselé, aux pommettes saillantes ; et sa mâchoire un peu large en comparaison du reste du visage est, selon ses propres dires, « la seule chose qui lui donne l’air viril » et évite de lui donner un physique androgyne. Le nez droit bien qu’un peu aplati, la bouche un peu trop mince, et le front qui se ride facilement sous le coup de l’inquiétude sont encore d’autres de ses attributs qui ne le font ressembler à personne. A vrai dire sa peau elle-même semble unique en son genre : sa blancheur est déjà notable, mais son élasticité surtout : sur le visage de Lukas, on peut TOUT lire. Il lui est pratiquement impossible de rester impassible en temps normal, exception faite quand il travaille –et là encore, il n’est pas inexpressif mais montre uniquement de l’attention et de la curiosité, ainsi que de l’intérêt. Bref, il n’est jamais neutre, et un interlocuteur attentif saura aisément dire dans quel état d’esprit est le jeune psychologue à tout instant. Sa mère avait l’habitude de dire qu’elle pouvait deviner à quoi il rêvait simplement en le regardant pendant qu’il dormait ! Certes, le jeune homme ne fait pas beaucoup d’efforts pour dissimuler ses émotions, mais parfois il aimerait être plus adroit à cet exercice.

Ses yeux gris-verts viennent compléter le tableau et accentuer encore l’expressivité dont fait preuve le personnage : des yeux vifs, intelligents, qui chez lui sont littéralement le miroir de l’âme. Toutes les émotions possibles et imaginables y sont lisibles avec la clarté de l’eau de source, dans ce regard translucide et tellement franc qui est définitivement sa « marque ». Lui-même déteste le fait d’être aussi facilement « déchiffré », mais le pauvre garçon n’a pas tellement le choix…

Complétons ce portrait d’un original avec la touche finale : d’épais cheveux châtains sombres, qui selon son entourage auraient bien besoin d’être coupés, mais qu’il aime comme ça, bien qu’il ait sans cesse besoin de les dégager d’un geste de la main devenu pratiquement inconscient. Démodée, la raie sur le côté ? Oui, mais Lukas ne fait rien comme tout le monde, et lui ça lui va bien. Alors on lui pardonne. Son style vestimentaire, assez rétro aussi bien que soigné, donne le dernier ton de son côté décalé, et fier de l’être. Ou au moins l’assumant totalement.




Caractère


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Quel sympathique garçon que ce Lukas ! Voilà bien la première impression que le garçon laisse à ses interlocuteurs lors d’une première rencontre. Il semble en effet difficile de résister au caractère ouvert et pour le moins charismatique du jeune homme. Souriant, semblant toujours de bonne humeur, sa tranquille bonhomie est en plus contagieuse : difficile de bouder longtemps lorsque Lukas est dans le coin, il maîtrise l’art de détendre les tourmentés, de faire remonter les plus accablés, de dérider les plus tristes d’entre nous. On ne pourrait pas vraiment dire qu’il incarne la joie de vivre, mais plutôt le dicton qui dit que la vie est un long fleuve tranquille : Lukas n’aime pas se prendre la tête, préfère voir le verre à moitié plein qu’à moitié vide, et positive toujours. Pour lui, à chaque problème sa solution, le tout est de mettre la main dessus ! Une sérénité d’esprit qui n’est pas sans rappeler la tendance épicurienne, à laquelle il adhère d’ailleurs totalement. Prenons la vie comme elle vient, et essayons d’en tirer le meilleur au lieu de se concentrer sur le pire ! Plus facile à dire qu’à faire évidemment, et lui-même parfois déroge à cette règle lorsque trop de soucis l’accablent, mais chassez le naturel, et il revient au galop… Lukas a donc de temps en temps ses crises de doute, ses passages à vides, ses moments difficiles, et au fond il en reste toujours un peu fragilisé et redoute en permanence la suivante. Raison de plus pour rester optimiste et confiant en la vie : ça éloigne les moments difficiles comme ceux-là !

Lukas aime trop son travail et a un côté trop enfantin et émotionnellement instable pour faire un parfait petit ami ; en revanche l’avoir en ami est un véritable plus. A ceux qu’il aime, il ne craint pas de témoigner son affection, que ce soit en leur rendant le sourire, en distribuant des coups de mains sans compter à toute heure de la journée et de la nuit, en servant d’oreille attentive, en étant partant pour toutes les sorties… Lukas est présent, toujours, indéfectible. Un de ses amis qu’il aura aidé à surmonter un deuil difficile dira de lui : « j’avais l’impression que le monde s’écroulait, et j’avais beau regarder autour de moi, je ne voyais que l’obscurité, les ténèbres, et ma tristesse. Et puis en y regardant mieux, je l’ai vu, lui. Silencieux, tranquille, et avec dans les yeux toute la compassion du monde. Il n’est jamais parti, ne m’a jamais laissé tomber. Il a été mon pilier. ».
Un pilier, un roc sur lequel on se repose au milieu de la tempête. Lukas est le genre d’homme qui porterait volontiers tous les malheurs du monde sur ses épaules pour en soulager les autres, sans se plaindre et sans compter, parce qu’il est comme ça. L’abnégation et le sens du sacrifice font partie de lui, et le plus étonnant, c’est qu’il ne semble même pas s’en rendre compte. C’est comme ça, point. On l’aime pour sa générosité, son altruisme, son désintéressement. Il ne paye pas de mine le garçon, mais il en faut de la volonté et de la solidité pour écouter tout le monde comme il le fait, et pour avoir en plus décidé d’en faire son métier.

Sa générosité alliée à la curiosité naturelle qu’il porte à ses semblables l’ont poussé à devenir psychologue. Oreille toujours attentive, quelles que soient les circonstances, que lui-même ait ou non des problèmes dont il aimerait parler, Lukas accueille, écoute et ne juge jamais. Surtout pas. Il a toujours fait preuve de cette étonnante neutralité qui lui facilite la tâche dans son métier et en fait un confident privilégié : avec lui, on n’a jamais peur d’entendre le moindre reproche ou la moindre condamnation ! Il écoute, c’est tout. Il écoute, et il garde pour lui. Chaque confidence est pour lui comme un cadeau, la marque d’une confiance que jamais il ne voudra trahir en brisant le sceau du secret ou en émettant un jugement quelconque. On vient le voir pour parler, pour vider son sac, pas pour être jugé. Mais pas non plus pour recevoir de conseils. Il sait rassurer. Consoler. Faire sourire. Mais conseiller ? C’est là une toute autre affaire. Rien qu’à l’idée de dire quoi faire à quelqu’un, il panique, littéralement. Cette générosité qui le fait si facilement aimer des gens est une arme à double-tranchant : sa plus grande peur est de décevoir ceux qui lui accordent tant de confiance et d’affection ! Et s’il se trompait ? Et s’il les conseillait de travers ? Et si à cause de lui les choses s’aggravaient ? Rien qu’imaginer ça lui donne des sueurs froides. Tout plutôt que décevoir. Il est prêt à tout supporter, toutes les confidences, les secrets les plus sombres, il est prêt à dédier ses journées, sa vie entière à écouter les autres et porter le poids de leurs malheurs… Mais les perdre, ça non. Jamais. Autant ne pas prendre de risque et se retrancher derrière une neutralité en apparence professionnelle, mais cachant en réalité une peur panique de ne plus être aimé, de se retrouver seul. Raisonnement inconscient étonnamment égoïste, sous un certain angle… Mais humain. Trop humain.

Cette énorme faille émotionnelle est la cause de bien des problèmes pour Lukas qui essaye de toujours paraître sous son meilleur jour, toujours dans cette optique de ne pas décevoir pour ne pas perdre. Le ciel pourrait lui tomber sur la tête qu’il sourirait encore pour prouver qu’il est toujours là, immuable, indéfectible ! Mais comme nous l’avons déjà vu, il y a des signes qui ne trompent pas, comme ce regard trahissant toute sa fragilité, sa peur de lui-même, sa peur des autres en un sens, cachées derrière son immanquable sourire. Cette surprenante anxiété, il sait admirablement la dissimuler grâce à sa tranquillité naturelle, mais elle se manifeste par un petit côté maniaque dont il s’est récemment rendu compte et qu’il essaye tant bien que mal de dissimuler aux yeux des autres. Mais encore une fois, à l’observateur attentif, rien de difficile à détecter.

Un cœur d’enfant dans un corps d’ado avec la maturité d’un adulte. Drôle de personnage qui a beau comprendre les autres à merveille, est incapable de se comprendre lui-même. Petit paradoxe sur pattes.


Ses relations :

~> And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas 246m6i8 John Watson : L'ancienne psychologue du Dr Watson a été une de ses tutrices pour un stage durant sa dernière année d'études. Depuis, elle a gardé contact avec lui et lui partage quelques cas résolus, incluant le bon docteur dont Lukas surveille les progrès via ce fameux blog qu'il écrit à la manière d'une thérapie. L'idée et bonne et semble fonctionner, puisque John semble avoir repris du poil de la bête mais... Vivre au milieu de produits explosifs, avec un colocataire aussi instable qui fraye avec les criminels -bien que ce soit pour les arrêter- et courir autant de dangers, est-ce vraiment une bonne idée ? Enfin, tant qu'il est sorti de sa phase noire... Le tout est de bien veiller à ce qu'il ne rechute pas, et Lukas redoute un peu cette relation exclusive qu'il semble avoir noué avec Holmes. Si jamais quelque chose venait à arriver au détective, Lukas n'ose imaginer les conséquences pour Watson. A surveiller donc.

~> And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas 2iglrbr Sherlock Holmes : Il ne connaît pas plus Holmes personnellement que Watson, n'a jamais vu ni l'un ni l'autre, mais les textes sont bien plus révélateurs qu'on ne le pense sur leurs auteurs... Et les personnages qu'ils mettent en scène. Sherlock est une mine d'or pour le lecteur curieux ! Cet homme intrigue grandement Lukas, qui aimerait beaucoup le rencontrer pour se faire sa propre opinion sur son homme... Qui vivra verra !

~> James McKelcken : James est un collègue que Lukas a rencontré pendant qu'il travaillait à l'hôpital comme psychologue clinique. Tous les deux avaient le même âge, adoraient leur métier, mais souhaitaient s'installer à leur compte. Allons-y pour partager un cabinet ! Leurs méthodes et spécialités se complètent : James s'occupe des thérapies de groupe, de couples et de familles, tandis que Lukas gère les cas individuels. James continue à travailler à temps partiel à l'hôpital.

~> Wylliam Broadwall : Un autre collègue, mais avec une spécialité étonnante. Il travaille à Scotland Yard, servant de psychologue aux policiers uniquement. Il l'a rencontré à un colloque, et le courant est passé facilement. Depuis, les deux hommes aiment se retrouver en dehors du boulot pour aller boire un verre et parler de tout et de rien. Lukas sait bien peu de choses de son camarade, mais il se dit que le jour où il voudra s'ouvrir un peu plus, il le fera.

Histoire

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Lukas n’a jamais été un garçon agité, ni bagarreur. Dans la cour de l’école, il était extrêmement rare de le voir au sein d’un de ces mini-gangs que les enfants peuvent former en primaire, avec un leader et des suiveurs. Ou alors, il y était parce que les autres avaient décidé de l’embêter. Trop gentil, trop effacé pour en intégrer un, et de toute façon il avait bien assez de ses quatre frères aînés pour en plus s’enticher d’une bande de casse-cou façon Petit Nicolas. Pendant les récréations, il est plutôt du genre à lire tranquillement à la bibliothèque ou participer à des jeux plus calmes. Il joue au football aussi, souvent, mais les bagarres de cour de récré ou embêter les filles, ce n’est pas son truc. Les instituteurs l’aiment bien, ce garçon un peu timide, mais toujours souriant, curieux de tout, vif bien qu’un peu dissipé, dans le sens où il s’échappe souvent dans ses rêveries. Mais dans l’ensemble, c’est un très bon élève, appliqué, et sans problème.
A la maison, il n’y a pas de grande différence. Dernier né d’une fratrie de cinq frères, il n’a même pas cherché à s’imposer au milieu d’eux, sachant pertinemment qu’il n’y arriverait jamais. Il a préféré faire son petit bout de chemin, tranquille, mais à pas sûrs, comptés, progressivement. Il n’a jamais été une source d’ennuis pour ses parents, qui avaient bien assez à faire avec l’aîné, Louis, qui plantait ses études et ne voulait qu’une chose : partir au Pérou avec des amis pour se lancer dans un projet de reconstruction du Macchu Picchu. Le deuxième fils, Philipp, avait quitté la maison et n’avait jamais donné la moindre nouvelle. Aujourd’hui encore, Lukas ignore ce qu’est devenu son aîné.
Ses parents se sont donné du mal pour élever ces nombreux enfants dans une ville aussi chère que Londres. Lucy était cuisinière à l’université d’Oxford et partait très tôt le matin pour rentrer très tard le soir, mais hors de question de déménager car Henry, son mari, était professeur à la London School of Economics et ne pouvait pas quitter son job. Lui aussi travaillait beaucoup et n’avait pas beaucoup de temps à consacrer à sa famille. Résultat, les deux plus grands avaient mené leur vie chaotique, les deux suivants s’étaient un peu mieux débrouillés, et Lukas s’était fait le plus discret possible, ne souhaitant pas décevoir ses parents déjà bien occupés.

Son enfance se passe dans le calme et la tranquillité. Jamais de souci, de bons bulletins, des bons copains à partir du collège… Aucun incident notable ne vient perturber le cours paisible de la vie du garçon. Jusqu’à ce que, peu avant son quinzième anniversaire, il fasse une rencontre déterminante dont l’impact sur sa vie future ne se mesurera jamais assez. Un nouvel élève arrive dans sa classe. Son nom est Christopher McGalloway. Presque au premier regard, Lukas sent que ce garçon n’est pas tout à fait comme les autres. Impression confirmée par le professeur qui leur explique que leur nouveau camarade souffre d’autisme, et que par conséquent, blablabla… Mais Lukas n’écoute déjà plus. Son regard vient de croiser celui de Christopher, dont les yeux restent plantés dans les siens, comme s’il scrutait son être aux rayons X. Un peu décontenancé, Lukas ne trouve rien d’autre à faire que sourire et le saluer légèrement de la tête. Christopher détourne les yeux. Le regarde de nouveau. Evite encore. Premiers contacts.
Alors que les autres élèves s’intéressent, puis se désintéressent de Christopher en voyant le peu de succès de leurs tentatives de contact et de socialisation, Lukas ne renonce pas. Il s’y prend autrement. Alors que les autres essayent de l’intégrer à leurs jeux, lui posent des tas de questions qui restent sans réponse, essayent de le forcer à s’ouvrir, Lukas tente une approche plus douce. Plus distanciée. Il l’observe de loin, essayant de comprendre son fonctionnement pour comprendre comment aller à lui. Il remarque que le garçon dessine, tout le temps, sur tout et avec n’importe quoi. Un jour où ils sont assis côte-à-côte en classe, le crayon de Christopher casse. Lukas, qui l’a vu, jette un coup d’œil en douce à son camarade et remarque la crispation de son visage, son regard à la fois terrorisé et en colère, et devine que la crise n’est pas loin pour avoir lu quelques articles sur l’autisme par curiosité. Aussitôt, Lukas sort un taille-crayon de sa trousse et tend la main vers lui. Christopher le regarde sans comprendre, encore en proie à l’angoisse d’avoir perdu son rituel, son leitmotiv, presque sa raison d’être. Il s’accroche désespérément au crayon cassé, comme s’il s’agissait de son bien le plus précieux. Conscient de marcher sur des charbons ardents, Lukas prend un de ses propres crayons, en casse la mine –ce qui fait sursauter Chris- et aussitôt le taille et montre le résultat à son voisin. Le garçon lève les yeux vers lui et le regarde, longtemps. Puis il lui tend son précieux bien, encore en hésitant. Avec précaution, Lukas le prend et répète exactement les mêmes gestes avant de le lui rendre, réparé. Une lueur de joie illumine le regard de Christopher, et un sourire se dessine même sur son visage. Lukas est ému.

L’après-midi même, alors que Lukas est en train de lire allongé dans l’herbe de l’espace vert de la cour, il entend quelqu’un s’asseoir à côté de lui et est surpris en reconnaissant le nouveau. Ce dernier le regarde à peine et s’installe avec un bloc de dessin et une multitude impressionnante de crayons, avant de s’emparer sans ambages des mains de Lukas et de les regarder, sous toutes les coutures. Curieux, Lukas le laisse faire. Puis, précautionneusement, Christopher repose les mains de Lukas en lui glissant un crayon entre les doigts. Puis il s’empare de son matériel et commence à dessiner. Lukas n’ose pas bouger, mais en regardant ce qui naît sur le papier, il n’en revient pas. Ce sont ses mains.
Ils restent comme ça longtemps. La fin de la récréation les interrompt, mais en sortant des cours, Christopher toujours sans un mot entraîne Lukas au même endroit et reprend son œuvre. Lukas ne dit rien non plus, il regarde. Il se demande qu’est-ce qui peut bien passer à cet instant dans la tête de cet étrange garçon, et surtout si ce dessin signifie quelque chose pour lui, pour eux. Moins d’une heure plus tard, la mère de Christopher arrive pour l’emmener à une visite médicale et est stupéfaite de voir son fils en compagnie d’un autre garçon. Intriguée, elle regarde ce garçon souriant qui ne détache par son regard de son fils et ne semble absolument pas troublé de ce drôle de processus. Finalement, Christopher achève son dessin, écrit quelques mots en dessous, et le tend à Lukas qui ne s’y attendait pas. Il le prend et le regarde : ce sont bien ses mains, dessinées avec une précision stupéfiante, et dessous il peut lire la légende « le garçon qui répare ». Mme McGalloway, qui a pu lire en douce, serre son fils dans ses bras et remercie Lukas en chuchotant. Puis ils s’en vont. Lukas reste là, moitié-heureux moitié-hébété, les yeux brillant d’une émotion mal contenue. Ce qui venait de lui arriver était comme un petit miracle.

Les jours suivants, Christopher ne semble plus avoir peur de Lukas, et finalement ils passèrent leurs dernières années de collège et lycée ensemble. Souvent silencieux mais toujours soudés. Lukas s’était mis à dévorer des livres entiers sur l’autisme et parvenait de mieux en mieux à communiquer avec lui, et par la même occasion il découvrit le vaste champ d’études qu’était la psychologie. Un nouvel univers qui le fascine, l’esprit des hommes, des mécanismes plus subtiles encore que les rouages les plus fragiles d’une horloge, et qui pourtant déterminent tant… Lukas est littéralement passionné par le sujet. A la fin du lycée, il décide de s’orienter en psychologie. Il a trouvé une véritable vocation, et il la doit à son ami Christopher. Nous sommes en Septembre 2000.

Il intègre la University College of London et continue de suivre son petit bonhomme de chemin, enchaînant découverte sur découverte qui ne font qu’augmenter encore son enthousiasme pour la psychologie. Il est l’un des meilleurs de sa promotion et en sortira d’ailleurs major avant d’enchaîner avec un master, puis un PhD. En 2007, il commence à travailler dans un hôpital et a le temps de toucher un peu à tout : psychiatrie, pédopsychiatrie, psychologie auprès des patients, auprès des familles, auprès des médecins… Il aime tout, s’intéresse à tout, n’a pas vraiment de domaine de prédilection même s’il révèle un talent particulier pour communiquer avec les enfants. Il a vingt-huit ans lorsqu’il apprend le décès de Christopher dans un accident de la route avec sa mère. Lukas est bouleversé. Il ne s’est jamais séparé du dessin de Chris, ce dessin qui avait scellé leur amitié. Il est toujours dans sa chambre, accroché au-dessus de son bureau. Il n’en a jamais parlé à qui que ce soit, n’a jamais voulu partager sa peine. Et aujourd’hui encore, c’est un poids qui pèse sur son cœur, un trou béant que rien n’arrivera jamais à combler. La mère de Chris avait beau dire que Lukas lui avait beaucoup apporté, elle ne se rendait pas compte à quel point Lukas était redevable à Chris. Il lui devait tout. Mais tout, sans lui, ça n’était plus grand-chose…

Mais l’être humain est ainsi fait qu’il se relève de presque toutes les épreuves qu’il traverse. Lukas ne fait pas exception à la règle. Malgré le deuil, il se relève, redémarre, retourne au travail. La vie recommence. Il aime encore plus ce job mais aspire désormais à autre chose. L’ambiance des hôpitaux le mine. Il préfèrerait ouvrir son propre cabinet, occasion qui se présente en 2010 avec la proposition que lui fait son collègue et ami James. Ils s’installent dans le quartier d’Islington, dans Florence Street. Lukas vit dans le quartier de Lambeth depuis qu’il a quitté l’hôpital et est toujours proche de sa famille malgré les déboires de l’aîné et la volatilisation du deuxième. Son père, souffrant d’un cancer des poumons, est à l’hôpital, et ses deux autres frères ont déménagé au Pays de Galles et en Amérique. Lukas rend régulièrement visite à sa mère à la retraite qui passe le plus clair de son temps à l’hôpital avec son mari. Quant à sa vie amoureuse, c’est un vrai champ de bataille. Il arrive rarement à entretenir une longue relation à cause de son travail très prenant, mais aussi à cause de son caractère passif, sa répugnance à prendre des décisions et à jouer les leaders. Et malheureusement, les filles aiment pouvoir se reposer sur quelqu’un de fort… Et Lukas ne l’est pas. Enfin si, mais à sa manière. Fort pour supporter les poids des autres, mais incapable de supporter les siens, qui sont de trop dans le compte…

Voilà où en est Lukas aujourd’hui. Un cabinet, un appartement, la famille pas très loin –enfin façon de parler- célibataire et, comme tout un chacun sur cette terre, faisant de son mieux pour s’en sortir sans trop de casse… C’est déjà pas mal, non ?


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TEST DE RP

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Comme les autres. Ce ne serait qu’une journée comme les autres, de ces journées qui s’ajoutent les unes aux autres comme les grains de sable d’un sablier, « et puis c’est le tas, l’impossible tas », comme disait Beckett. Ca ne le dérangeait pas plus que ça. Il aimait sa routine, bien que les expériences nouvelles et les découvertes lui plaisent aussi. Il n’était pas casanier et avait toujours cette énergie et cet enthousiasme de la vie qu’ont les jeunes gens comme lui ; mais il aimait aussi sa vie comme elle était, sans grand changements, sans aventures extraordinaires chaque jour, sans émotions fortes à tous les coins de rue. Il n’avait pas l’âme d’un James Bond, de toute façon. Ses aventures extraordinaires, il les vivait dans son cabinet. Tragiques, comiques, étonnantes, révoltantes, mais toujours passionnantes. Les journées en elles-mêmes pouvaient se ressembler, mais les gens ne se ressemblaient pas, et chaque histoire qu’il entendait pendant sa journée de travail était inédite, précieuse, unique. Il n’avait pas besoin de sauter d’un hélicoptère ou poursuivre les criminels pour ressentir l’excitation de la nouveauté et de la découverte : l’esprit humain lui fournissait largement assez de matériel pour ça.

C’est donc de bonne humeur comme chaque jour que Lukas se prépara pour le boulot ce matin-là. Il ne ressentait jamais cette lassitude qui vous prend parfois le matin en vous levant et vous fait penser qu’il vaudrait mieux rester couché. Il ne laissait jamais, ne se lasserait jamais de son travail. Parce qu’il est impossible, dans son esprit en tout cas, de se lasser des gens. Les gens sont passionnants. Il aimait trop les gens pour en être un jour fatigué. Ils pouvaient l’irriter, le mettre en colère, l’attrister bien sûr, mais le lasser ? Jamais de la vie. Même les pires d’entre eux recélaient toujours quelque chose d’intéressant, quelque chose digne d’être soulevé et mis en lumière. Depuis son premier jour de travail en tant que psychologue jusqu’à aujourd’hui, son enthousiasme n’avait jamais faibli. Il arrivait même à étonner ses collègues, qui eux aimeraient pouvoir prendre plus de vacances ! Lui n’en prenait pratiquement jamais. Un véritable extra-terrestre.

Lukas n’avait pas le permis, il prenait donc le bus pour aller jusqu’au cabinet qu’il partageait avec son ami James. Comme il faisait beau malgré le froid glacial, il longea la Tamise en passant devant le London Eye sur lequel il n’était jamais monté, admira de l’autre côté du fleuve Big Ben et Westminster, aida un aveugle à traverser la route, et arrive à Lambeth Bridge où il grimpa enfin dans un bus. Souriant à tout le monde, ne souriant à personne. Il se sentait bien. Il descendit à Islington et fit le reste du trajet à pied, monta les deux étages de l’immeuble quatre à quatre et entra enfin dans le cabinet. Son sanctuaire. Il posa son sac en bandoulière, qui ressemblait plus à celui d’un étudiant qu’à une sacoche de psychologue, et en sortit méthodiquement ses bloc-notes, livres et autres affaires, qu’il disposa sans y prêter attention exactement au même endroit que la veille. Lorsqu’il releva les yeux et s’en rendit compte, il se mordit les lèvres. Il détestait s’apercevoir lui-même qu’il n’arrivait pas à se débarrasser de sa maniaquerie. Une faiblesse, un dérèglement du système qui trahissait un malaise intérieur plus profond. Il n’était que trop bien placé pour le savoir. Il hésita un instant à déplacer les objets, mais sentait bien qu’il les remettrait en place une minute plus tard. Poussant un soupir, il les laissa tels quels. Une petite défaite de plus. Bah, tant pis. Il serait le seul au courant de toute façon.

Ce fut ce moment que choisit James pour frapper et entrer presque sans attendre la permission. Il avait l’œil sur l’emploi du temps de Lukas autant que sur le sien –chose qui avait toujours étonné son compère- et savait précisément quand il était en consultation ou non.

« Dalloway, j’ai eu un coup de fil de Mrs Hutchings juste avant que tu n’arrives. Elle a finalement réussi à convaincre sa fille de venir. Je pense que ce serait bien que tu sois là. »

Haussant un sourcil étonné, Lukas hocha néanmoins la tête pour marquer son assentiment. D’habitude les affaires de famille ou les consultations à plusieurs relevaient de James, mais c’était vrai que Lukas savait mieux parler aux enfants. La petite Charlotte Hutchings étant particulièrement peu encline à parler, lui saurait sans doute mieux s’y prendre.

La mère et la fille arrivèrent quelques minutes plus tard et furent accueillies dans le bureau de James, leur psychologue habituel. Lukas se concentra aussitôt sur la petite. Elle gardait les yeux résolument fixés au sol, et lorsqu’elle sentit le regard de Lukas sur elle, elle leva ses prunelles bleues vers lui pour les baisser aussitôt avec une expression de peur de honte mêlées. Même lorsque la consultation commença, elle n’ouvrit pas la bouche et ne regarda personne. Mrs Hutchings expliqua à Lukas que depuis quelques mois, sa fille souffrait de terreurs nocturnes, de cauchemars, ne parlait presque plus et avait des difficultés à se nourrir. Anorexie ? Non, elle ne refusait pas de manger, et à neuf ans pouvait-on vraiment parler de ce phénomène ? Lukas n’écartait pas l’idée, mais l’attitude de Charlotte avait forgé dans son esprit une toute autre hypothèse et priait pour qu’elle soit fausse. Il approcha son fauteuil de celui de l’enfant et se pencha vers elle, essaya de lui parler, sans grand succès.

« Dis-moi Charlotte, est-ce que tu aimes dessiner ? » demanda-t-il finalement après quelques tentatives infructueuses. Elle hocha la tête. « Alors voilà ce que je te propose. Maman va rester là pour parler avec le docteur McKelcken, et nous deux on va aller dans la pièce à côté pour dessiner en attendant qu’ils aient fini. D’accord ? »

Charlotte leva la tête vers Lukas et l’observa avec attention, comme pour déchiffrer le degré de véracité de ses paroles. Puis, comme si le regard bienveillant du psychologue l’avait un peu rassérénée, elle opina. Jetant un regard à James, Lukas emmena l’enfant. Il l’installa à son bureau avec du papier, des crayons, et lui demanda de dessiner ce qui lui passait par la tête. Il s’installa à côté d’elle et fit de même. Une heure passa. Mrs Hutchings récupéra sa fille et repartit. James ne se formalisa pas du peu de résultats obtenus. Il savait que Lukas avait ses méthodes, d’autant plus que c’était la première fois qu’il voyait la gamine. Elles revinrent toutes les deux une fois, deux fois, quatre fois… A chaque fois Charlotte allait dessiner avec Lukas, et peu à peu, elle se mit à parler. De tout, de rien. Et puis un jour il lui demanda de dessiner sa famille. Elle dessina sa mère. Juste à côté elle se dessina, puis elle dessina son frère. Enfin elle dessina son père. A l’écart du reste de la famille. Lukas leva les yeux vers elle.

« Pourquoi ton papa n’est-il pas dans le groupe ? » « … » Un silence, un regard qui se dérobe. Une intuition qui se consolide, irrévocablement. « Tu ne t’entends pas avec ton papa ? » « … » Hésitation, puis hochement de tête négatif. Soupir légèrement tremblant. Lukas sent sa gorge se serrer. « C’est très important Charlotte. » continua-t-il néanmoins. « Il y a un problème avec ton papa, c’est ça ? »

Charlotte déglutit et plongea ses yeux bleus dans les siens. Puis, comme si quelqu’un d’autre que lui pouvait l’entendre, elle se pencha et lui chuchota quelques mots à l’oreille. Mots naïfs, mots d’enfants, mais qui lui brisèrent le cœur, peut-être justement parce que c’étaient des mots d’enfants. Il regarda l’enfant. L’énigme était résolue.

Après que la petite et sa mère furent parties, Lukas et James restèrent longtemps silencieux, assis dans le bureau de ce dernier. James regardait par la fenêtre tandis que Lukas jouait avec un élastique, les yeux perdus dans le vague.

« J’aurais dû m’en douter. J’avais pensé qu’elle se faisait martyriser à l’école, mais… Honnêtement, j’aurais préféré. » finit par déclarer James d’un ton résigné. « Moi aussi mon vieux. Mais on n’a pas toujours ce qu’on veut dans la vie. »

James resta silencieux un instant puis demanda :

« Qu’est-ce qu’elle t’a dit exactement, la petite ? »

Lukas ne répondit pas tout de suite. Ses mains s’immobilisèrent, et il resta ainsi un court instant. Puis il leva ses iris verts vers son collègue, et dedans, on pouvait lire toute la tristesse et la compassion du monde.

« ‘Mon papa il m’aime trop…’ »

[…]

Une journée de plus, qui s’ajoute aux autres, avec ses mystères et ses révélations, ses tragédies et ses moments de beauté. Tout est inextricablement lié, l’horreur côtoie l’innocence, et même les plus fragiles ne peuvent déroger à cette règle. Ni les enfants, ni les psychologues. C’était ça la vie. Lukas referma la lettre de Mrs Hutchings lui annonçant que son ex-mari avait été condamné à la prison, et que Charlotte allait beaucoup mieux depuis le début de sa thérapie. Ca aussi c’est la vie. On traverse des épreuves, et on se relève. Lukas esquissa un sourire. Puis il referma le dossier de Charlotte, et alla se coucher, se préparant aux nouvelles découvertes du lendemain, quelles qu’elles soient. The show must go on. It always does.


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Dernière édition par Lukas Dalloway le Mer 18 Jan - 0:38, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas   And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas EmptyMar 17 Jan - 14:12

XDD d'où tu me piques ma phrase
Re-bienvenue sur le forum cheers
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MessageSujet: Re: And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas   And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas EmptyMer 18 Jan - 0:41

J'ai précisé que c'était the other Doctor hein 8D

Et voilà, fiche terminée cheers

Désolée pour le test rp, à la base je voulais arder un ton sympathique tout du long, puis j'ai regardé la BA de "Polisse", et en entendant cette terrible phrase "Mon papa il m'aime trop", j'ai juste tilté... Encore pardon pour ça. Je sais aussi que la scène n'est pas forcément très réaliste, mais j'ai été coupée par la longueur du texte. J'aurais pu écrire bien plus, mais je me suis dit que ça vous faisait assez de travail comme ça. Pardon encore, donc, et pardon pour la découverte pas très joyeuse de Lukas, alors que le début était plus "heureux".

En espérant que vous aimerez quand même *ZBAF* Arrow
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MessageSujet: Re: And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas   And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas EmptyMer 18 Jan - 22:25

Bonsoir,

Alors, pour John et moi, c'est nickel !
Le physique et le caractère passe tout à fait (niveau style et nombre de mots), quant à l'histoire, j'ai beaucoup aimé les précisions, brèves et claires, en plus de la plausibilité et la motivation pour devenir psychologue est tout à fait valable et passe.
Et pis, concernant le Test RP, c'est vrai que c'est rapide, mais tu as précisé que cela se passait sur plusieurs jours, donc c'est valable aussi ! Et pis, c'est tellement touchant et ça marque bien la balance entre le caractère de Lukas et le métier qui n'a rien de "rose", concrètement.

Tu es donc validée~
Penses juste à faire un topic pour archiver tes RPs ici (la fiche des liens est facultative) et également une demande de rang ici pour que je puisse t'ajouter définitivement à ton groupe.

Donc au final, rebienvenue parmi nous et bon jeu ~
(et je réponds à ton MP concernant le RP, contente que l'idée te plaise en tout cas *-*)
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Lukas Dalloway
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MessageSujet: Re: And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas   And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas EmptyMer 18 Jan - 22:34

cheers cheers cheers cheers cheers

Je suis super contente que Lukas ait su vous convaincre *-* Je l'aime déjà ce petit bonhomme, quand au test rp, j'étais limitée par la longueur -je voulais pas m'étaler trop pour pas vous gonfler- mais ce sera bien entendu plus détaillé en vrai rp Wink

Je vais donc de ce pas demander mon rang et créer ma fiche de rp ~ Merci encore pour tout I love you
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MessageSujet: Re: And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas   And my whole brain just went "WHAT THE HELL ?!" Lukas Empty

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